7.1.12

Partenariat Franco - Brésilien

Coupe du Monde de Football 2014 Verteego fournit la technologie 
de suivi de l'empreinte carbone de 6 stades

 

Paris, le 5 janvier 2012 - le Groupe Andrade Gutierrez, géant brésilien du génie civil et de la construction, devient la première entreprise d'Amérique du Sud à automatiser la production de son reporting gaz à effet de serre et énergétique en faisant appel à Verteego, une société made in France éditrice de solutions de gestion environnementales. Le cabinet Proactive Consultoria, expert reconnu des enjeux de la construction durable, s'est chargé d'identifier la technologie logicielle Verteego pour le compte d'Andrade Gutierrez et en assure l'implémentation.

 

Le Brésil, qui dispose d'une économie des plus prometteuses, libérales et innovantes, regorge d'entreprises performantes et ambitieuses. Contrairement à nombre d'entreprises du Vieux Continent, les meilleures entreprises brésiliennes ne recherchent pas la conformité, c'est trop commun, ni même l'exemplarité, c'est trop naïf : elles visent mieux, c'est-à-dire le leadership dans tous les domaines - y compris, dans le cas de la très représentative Andrade Gutierrez, celui de la performance écologique comme catalyseur d'une croissance rentable et durable. Andrade Gutierrez suit notamment l'empreinte carbone de la construction de 6 stades de la Coupe du Monde de Football 2014 au Brésil grâce à une technologie française fournie par la PME Verteego.

Pour ce faire, Andrade Gutierrez, qui avait réalisé en 2009 et 2010 un inventaire annuel des émissions en faisant appel à un cabinet de conseil anglo-saxon de renommée mondiale, a souhaité mobiliser ses ressources non plus sur la mesure mais sur la réduction des émissions. 

"Le suivi de la mesure dans le temps est une condition nécessaire à l'application d'une politique de réduction des émissions de carbone, et donc de réduction du coût global de nos opérations. Sans mesure, comment vous assurez que vous déployez des actions qui vont dans la bonne direction ? Or, nous avons pu développer une expertise en management carbone qui nous a permis d'imaginer l'automatisation totale de la production de notre reporting carbone annuel. En consultant différents fournisseurs américains et européens, il nous est vite apparu évident que c'était Verteego qui disposait de la plus grande expérience et de la meilleure solution en la matière" précise Érico da Gama Torres, Directeur Technique du Groupe Andrade Gutierrez

Pour Ana Rocha Melhado, le constat est double : "Premièrement, mon cabinet Proactive Consultoria, qui accompagne depuis de nombreuses années Andrade Gutierrez dans sa stratégie de développement durable, a pu récemment constater à quel point les besoins des grandes entreprises brésiliennes pouvaient être importants en matière de logiciels de management carbone. Deuxièmement, toutes souhaitent déployer une comptabilité carbone en parallèle de leur comptabilité financière, mais c'est Andrade Gutierrez qui la première s'est lancée, ce qui ne me surprend pas du tout: Andrade Gutierrez entretient une tradition d'innovation depuis plusieurs décennies. C'est cet état d'esprit avant-gardiste qui permet à Andrade Gutierrez d'être sollicité sur les projets les plus pointus, à la plus forte valeur ajoutée, et où la composante développement durable est la plus vitale pour la réussite de l'opération. C'est une fierté pour Proactive Consultoria d'avoir contribué à la mise en relation d'Andrade Gutierrez et de Verteego, c'est aussi l'amorce d'un partenariat stratégique de long terme avec cet éditeur français qui n'a à mon avis pas fini de conquérir les décideurs des grandes entreprises."

Rupert Schiessl, cofondateur et Directeur Général de Verteego, conclut: "J'ai souhaité superviser directement le projet d'implémentation mené de concert par la Direction des Systèmes d'Information d'Andrade Gutierrez et ses équipes dédiées à la Performance Environnementale, sous la coordination de Proactive Consultoria. En effet, ce choix d'Andrade Gutierrez de retenir Verteego concrétise une inflexion dans notre stratégie: Verteego démontre de manière indéniable ses capacités en matière de réponse aux exigences de très grands comptes internationaux. Sur le plan du ressenti, c'est tous les jours une fierté pour les équipes de Verteego de compter un client aussi innovant et prestigieux qu'Andrade Gutierrez, dont les équipes disposent d'un savoir-faire très pointu dans tous leurs domaines. Enfin, l'expertise des consultants Proactive Consultoria combinée à leur méthodologie de direction de projet sont une garantie de succès pour Andrade Gutierrez. Nous ne pouvions avec Proactive Consultoria trouver un meilleur partenaire pour nous implanter au Brésil, un pays qui regarde l'avenir en vert et dont les acteurs économiques disposent d'une volonté inconditionnelle d'être les meilleurs dans tout ce qu'ils entreprennent."



A propos d'Andrade Gutierrez
Fondée en 1948, Construtora Andrade Gutierrez opère sur les marchés du Brésil et en Amérique Latine. Sa filiale Construtora Zagope, dont le siège est à Lisbonne et qui fut rachetée par le groupe en 1987, opère quant à elle en Europe, en Afrique, et en Asie. Andrade Gutierrez travaille selon différentes formes contractuelles, et bénéficie d'une expérience de plus de 60 ans sur toute la chaîne de valeur de la construction et du génie des infrastructures. Construtora Andrade Gutierrez est organisée en 5 divisions: Electrique, Energie, Industrie, Nord, Sud, et Amérique Latine.
Fin 2010, Andrade Gutierrez comptait 60.000 salariés pour 8,4 milliards de dollars américains de chiffre d'affaires. Parmi les réalisations d'Andrade Gutierrez: centrales hydroélectriques, centrales thermoélectriques, centrales nucléaires, usines, raffineries, chantiers navals, ports, métros, voirie, urbanisme, aéroports, stades, autoroutes, voies ferrées, constructions, pipelines, tunnels
Site web: www.andradegutierrez.com.br
Twitter: @Grupo_AG
Contact: Joao Gilberto Chiaranda Duarte / Chargé de mission Environnement / joao.chiaranda@agnet.com.br 

A propos de Proactive Consultoria
Fondé par Ana Rocha Melhado, titulaire du cours de génie civil en cycle Master à la Fondation Armando Álvares Penteado (FAAP), Proactive Consultoria est un cabinet de conseil en gestion de projets d'aménagement, de génie civil, de construction immobilière et d'infrastructures durables. Proactive Consultoria inclut de manière systématique des critères de durabilité, d'efficacité énergétique, et de performance gaz à effet de serre dans les projets qu'il accompagne. Basé à Sao Paulo, Proactive Consultoria s'est bâti avec le temps une réputation de qualité qui fait de lui le cabinet référent au Brésil en matière de conseil en construction durable.
Site web: 
www.proactiveconsultoria.com.br/wp/index.php
Twitter: @AnaRochaMelhado
Contact: Paloma Jacobina, Press Relations Manager, imprensa@proactiveconsultoria.com.br

A propos de Verteego
PME technologique de croissance fondée en 2008 à Paris, Verteego conçoit et commercialise le "coeur vert" des systèmes d'information des entreprises. Son objectif? Permettre aux entreprises d'intégrer dans leur gouvernance et dans leurs outils actuels des indicateurs environnementaux, pour que la performance écologique s'intègre progressivement dans le business. Pour ce faire, Verteego commercialise sur une plateforme technologique unifiée des solutions modulaires, dédiées à l'évaluation environnementale (carbone, énergie, eau, déchets,...) des entreprises et de leurs produits et services, et à la traçabilité des substances toxiques dans la supply chain.
Site web: 
www.verteego.com
Twitter: @verteego_FR

Contact Presse : 
Rupert Schiessl, cofondateur, Directeur Général Verteego :  01 47 70 08 90 / rupert.schiessl@verteego.com

30.12.11

ETUDE / 10 tendances-clés de l’Open Innovation


i7, l'Institut pour l'Innovation et la Compétitivité, le think-tank académique porté par ESCP Europe et la Fondation Europe+, a réalisé, en partenariat avec Accenture, un état des lieux auprès de 20 entreprises internationales qui pratiquent l'Open Innovation depuis plusieurs années.

Ces entreprises appartiennent à divers secteurs, de l'agroalimentaire (Danone, General Mills et Kraft…) à la grande consommation (Procter & Gamble, Unilever, Beiersdorf…) jusqu'à la chimie, l'industrie pharmaceutique et la téléphonie (Alcatel Lucent, GE, Merck…).

Ce rapport met en évidence les étapes du processus d'intégration de l'Open Innovation en 10 tendances-clés :
- L'approche structurée et systématique pour « faire rentrer l'extérieur »
- Le rythme d'adoption rapide : 10 ans entre les pionniers et la diffusion
- Le vivier quasiment illimité de sources externes
- Le choix du degré et d'objet d'ouverture
- L'équilibre entre le nombre et l'intensité des partenariats
- Le pilotage des partenariats
- La nécessité d'investissement
- L'évolution de la culture d'entreprise
- Le pilotage de la performance
- L'impact et les facteurs de succès

Au-delà de l'intérêt populaire pour la mode de l'Open Innovation, l'étude montre que ce concept est à l'origine d'un profond changement dans l'approche de l'innovation des entreprises, qui leur permet d'accélérer et d'améliorer leur capacité d'innovation, d'une manière plus écologique et peut-être plus économe. L'Open Innovation se concentre sur la découverte de nouvelles idées, la réduction des risques, l'exploitation de ressources rares et paradoxalement l'amélioration de la protection de la Propriété Intellectuelle. Le business model de l'Open Innovation est un critère clé de son succès. La confiance et la capacité d'absorption sont les principaux ingrédients des situations gagnant-gagnant.

L’histoire de l’innovation contemporaine c’est les Big Data

La lecture de la semaine provient de la vénérable revue The Atlantic et on la doit à Erik Brynjolfsson, économiste à la Sloan School of Management et responsable du groupe Productivité numérique au Centre sur le Business numérique du Massachusetts Institute of Technology et Andrew McAfee auteurs Race Against the Machine ("La course contre les machines où comment la révolution numérique accélère l'innovation, conduit la productivité et irréversiblement transforme l'emploi et l'économie"). Elle s'intitule : "l'histoire de l'innovation contemporaine, c'est les Big Data" (c'est le nom que l'on donne à l'amoncellement des données).

En 1670, commence l'article, à Delphes, en Hollande, un scientifique du nom de Anton van Leeuwenhoek (Wikipédia) fit une chose que beaucoup de scientifiques faisaient depuis 100 ans. Il construisit un microscope. Ce microscope était différent des autres, mais il n'avait rien d'extraordinaire. Comme beaucoup d'inventeurs, il s'était appuyé sur l'ingénuité de ses prédécesseurs. Mais quand il a regardé dans son microscope, il a trouvé des choses qui semblaient extraordinaires. Il les a nommées "animalcules"… C'était des microbes dans des gouttes d'eau et du sang humain qui furent à l'origine de la théorie des germes de la maladie qui inspira nombre de traitements médicaux.

La découverte de Leewenhoek est cruciale pour notre compréhension de l'innovation, pas seulement parce qu'elle a changé le visage de la biochimie, mais aussi parce qu'elle incarne un paradigme fondamental de la découverte : les avancées dans l'innovation reposent souvent sur des avancées dans la mesure.

Les entreprises d'aujourd'hui peuvent mesurer leur activité et leur relation aux clients avec une précision sans précédent. Résultat, elles croulent sous les données. C'est particulièrement vrai dans l'économie numérique où la prise en compte des clics offre des perspectives très précises et en temps réel sur le comportement des consommateurs. En retour, les consommateurs agissent comme les consultants involontaires de ces entreprises. Nos achats, nos recherches et notre activité en ligne sont tracés pour tout améliorer, des sites web aux trajets de livraison et à la fabrication des médicaments. Quiconque ayant accès à un navigateur Web peut obtenir la liste de milliards de recherches par mot-clé et ce type d'information est un outil de prédiction de l'activité économique présente et à venir. Les téléphones mobiles, les voitures, les robots dans les usines et beaucoup d'autres outils sont couramment programmés pour générer des flots de données sur leur activité, rendant nécessaire l'émergence d'un champ, le reality mining (fouille de la réalité) pour analyser ces informations.

Le plus gros de ces informations est généré gratuitement par des ordinateurs et demeure inutilisé, du moins au départ. Car depuis quelques années, il est commun qu'une entreprise cherche un outil d'intelligence business pour faire quelque chose à partir de ce monceau de données recueilli sur ses activités. Par exemple, Enologix a utilisé cette approche pour aider les vignobles Gallo à prévoir les notes que Robert Parker mettrait à des nouveaux vins. UPS a fouillé ses données sur les livraisons pour développer une nouvelle méthode de routage et Match.com a même développé de nouveaux algorithmes pour les rencontres hommes femmes. A chaque innovation, des analystes inventent de nouvelles technologies de mesure pour remplacer les experts humains qui s'appuient trop sur l'intuition.

Cependant, malgré leurs forces, les mesures ont un défaut. Elles n'identifient pas la causalité. Un exemple simple : à l'école élémentaire, la taille des chaussures et les aptitudes à la lecture sont corrélées, mais ça ne signifie pas qu'il y ait un lien de causalité ; au contraire, l'une et les autres se réfèrent à une troisième variable : l'âge. Heureusement, la science a un second outil puissant spécialement inventé pour déterminer les causalités. Cet outil, c'est l'expérimentation.
Pendant près de 400 ans, la science a été dominée par l'approche expérimentale. C'est le meilleur moyen de faire émerger les causalités. Mais jusqu'à maintenant, il n'était pas facile pour les entreprises de mener des expériences (à cause de leur coût, du temps qu'elles nécessitent…). Ce n'est que récemment qu'elles ont appris à expérimenter en temps réel sur leurs clients. Et c'est le web qui a rendu cela possible.

Prenez deux entreprises nées du numérique : Amazon et Google. Une partie essentielle de la stratégie de recherche d'Amazon est un programme d'expérience dit "A-B" qui consiste à développer deux versions de son site Web. En utilisant cette méthode, Amazon peut tester un nouveau moteur de recommandation pour les livres, un nouveau service, un système de vérification ou tout simplement un nouvel élément de design. Il suffit parfois à Amazon de quelques heures pour voir une nette différence statistique entre les deux sites. La faculté à tester rapidement les idées change fondamentalement la mentalité de l'entreprise et sa manière d'envisager l'innovation. Plutôt que de tergiverser des mois sur un choix, plutôt que de bâtir des modèles de scénario, l'entreprise demande simplement à ses clients et obtient une réponse en temps réel. (Les auteurs mènent la même analyse à propos de Google).

Greg Linden, qui a mené des expériences pour Amazon décrit cette nouvelle philosophie de l'expérimentation comme suit : "Pour trouver des expériences à fort impact, vous devez tenter beaucoup. Le génie naît de milliers d'échecs. Dans chaque tentative ratée, il y a une leçon qui vous aide à trouver quelque chose qui marchera. L'expérimentation constante, continue et ubiquitaire est la chose la plus importante."

Ces mots font écho à l'approche des inventeurs depuis Thomas Edison mais les nouvelles technologies ont rendu possible de l'appliquer à un panel plus large d'entreprise et ont significativement compressé le temps du cycle "hypothèse-expérience".

Xavier de la Porte

Source : http://www.internetactu.net/2011/11/28/lhistoire-de-linnovation-contemporaine-cest-les-big-data/


15.7.11

Start-Up Chile ouvre sa seconde phase de candidature pour trouver les 100 prochaines Startups participantes.

SANTIAGO, Chili – 7 Juillet 2011 – Start-Up Chile annonce l'ouverture de la seconde phase de candidature de l'année 2011, cherchant une fois de plus à sélectionner, financer, et à héberger près de 100 entreprises innovantes au Chili.

La deuxième phase commence le 11 Juillet et sera ouverte, pour la première fois, aux entrepreneurs de toutes les nationalités, qu'ils résident à l'étranger ou au Chili.

Juan Andrés Fontaine, Ministre de l'économie a dit :

La promotion de l'innovation et de l'entrepreneuriat est cruciale pour que le pays se développe. Pour cela, il est très important pour le Chili d'être à l'initiative de ce grand projet que représente Start-Up Chile. Nous croyons au haut potentiel des entrepreneurs, et  nous voulons faire de notre pays un pôle d'innovation en Amérique Latine, qui génère des emplois et exacerbe le talent des jeunes chiliens. Nous encourageons tous les entrepreneurs du monde, en particulier ceux du pays,  à postuler. Nous apportons le financement, et vous apportez les idées.

Lors du premier trimestre de l'année 2011, un sélection similaire fut organisée: 110 startups venant de 28 pays furent retenues. Le but pour 2011 est d'attirer près de 300 startups, et 1000 d'ici 2014.

Les candidats seront jugés sur de nombreux critères, qui incluent :

  • Le talent et l'engagement des porteurs de projets
  • Le potentiel du projet sur le marché international
  • La valeur du réseau que le candidat pourra apporter à l'entrepreneuriat Chilien

Les candidats seront jugés par des industriels, des capital-risqueurs, et des entrepreneurs ayant une forte expérience dans la création d'entreprise et le conseil. Toutes les startups seront jugées de façon égale et selon les mêmes critères.

Les candidatures doivent être soumises en Anglais via le site Start-Up Chile,www.startupchile.org/apply, où se trouvent des informations plus précises concernant la sélection et la participation au programme.

A propos de Start-Up Chile

Start-Up Chile est un programme mis en place par le gouvernement chilien dont le but est d'attirer des entrepreneurs au potentiel fort pour qu'ils créent leur startup en utilisant le Chili comme un levier vers l'international. L'objectif est non seulement d'aider les entrepreneurs à développer leur startup, mais aussi de créer et de favoriser un réseau avec le tissu entrepreneurial local.

Le but final est de transformer le Chili en hub de l'innovation et de l'entrepreneuriat en Amérique Latine, et nous pensons que ce but peut être atteint en liant les entrepreneurs locaux aux entrepreneurs étrangers.

Le programme, unique dans le monde, est une opportunité idéale pour les porteurs de projets de recevoir un financement sans devoir faire une levée de fonds extérieure ; d'autre part les entrepreneurs du programme ont la chance de pouvoir utiliser une des économies les plus fortes de toute l'Amérique Latine comme plateforme de lancement/développement. Start-Up Chile est une initiative révolutionnaire qui a ouvert la voie à des programmes similaires comme Startup America ou  Britain. Le programme a aussi été loué par la presse internationale (Forbes, The Economist, INC. Magazine, and EXAME, parmi d'autres).

Les entrepreneurs de Start-Up Chile

Au total, 112 startups auront participé activement a Start-Up Chile pendant la première année de ce programme. Elles viennent de tous les continents, de la Chine à la Norvège, d'Israël à l'Afrique du Sud, en passant par le Brésil ou encore la Bulgarie.

Les résultats sont déjà concrets : les fondateurs de JUNAR, une plateforme qui permet aux utilisateurs de trouver et d'utiliser facilement des données, ont levé 1,2 million de dollars en Décembre 2010. Lucia Iborra, fondatrice de visualNACert a réalisé un accord de plusieurs milliers d'euros avec une université espagnole et deux universités chiliennes.

Amir Salihefendic, un Bosniaque vivant au Danemark a intégré le programme au début de l'année 2011 après avoir précédemment crée Plurk.com, qui a plus de 5 millions d'utilisateurs aujourd'hui et qui a été copié par Microsoft. Il espère un succès similaire avec sa nouvelle startup Wedoist.

Qu'il s'agisse de succès ou d'échecs, de leçons ou d'erreurs, les participants de Start-Up Chile partagent leurs expériences.

Pour plus d'informations sur l'expérience Start-Up Chile, consultez le site www.startupchile.org.

28.6.11

"Le Brésil est le troisième pays préféré des investissements directs à l'étranger"

Entretien avec Marc Giget, directeur du projet Top Innovation
Training, un programme itinérant de formation à l'innovation en
université destiné aux responsables d'entreprises à travers le monde.
Une conférence dédiée aux opportunités brésiliennes dans ce domaine
s'est tenue le 21 juin à la cité internationale de Paris à laquelle
L'Atelier était présent.

L'Atelier : Pourquoi inclure le Brésil dans votre mission formation ?


Marc Giget : Il y a 20 ans, le Brésil était en retard dans le
déploiement des infrastructures nécessaires aux développements
technologiques. Mais depuis une dizaine d'années, les courbes qui
étaient dans le rouge sont désormais dans le vert. Les raisons ? Je
dirais que le Brésil a su tirer rapidement profit de la richesse de
ses matières premières, notamment la découverte des ressources de
pétrole qui sont de véritables opportunités d'investissement.
Aujourd'hui, il faut savoir que 2/3 des nouvelles ressources d'or noir
découvertes dans le monde se trouvent dans ce pays. L'économie prend
donc un nouvel essor, et les entreprises se tournent naturellement
vers les nouvelles technologies pour se développer. De plus, les
sociétés étrangères peuvent se permettre des investissements à long
terme car structurellement parlant, le marché s'est stabilisé. Il est
aujourd'hui le troisième pays au monde préféré des investissements
directs à l'étranger (IDE)

Quel est le paysage actuel de l'innovation ?
Aujourd'hui le Brésil est le 4è pays du monde qui compte le plus
d'Internautes La culture web s'est développée de manière phénoménale.
Le pays est vaste et les principales zones urbaines sont éloignées. De
ce fait, les internautes ont rapidement adopté les réseaux sociaux
pour communiquer et ils ont même créé leurs propres plateformes. Et il
y a d'autres facettes intéressantes dans leur utilisation du web,
comme les services liés à la justice par exemple : c'est un usage
assez inédit sur la Toile pour un pays émergent qui n'en est plus un.
De plus, il faut noter que les Brésiliens sont également
particulièrement friands du software. En témoigne l'ampleur et la
pertinence des travaux du centre de recherche de Recife par exemple.

Le territoire est donc propice à l'investissement dans l'innovation...
Oui mais il ne faut pas oublier non plus que ce pays présente des
obstacles de taille dans le développement de l'innovation des
entreprises. Les problèmes de sécurité dans les centres urbains sont
toujours aussi importants...Même si depuis 19 ans, la criminalité est
en baisse, Rio reste la troisième ville la plus dangereuse du monde.
Un autre problème est qu'il manque aujourd'hui 50 000 ingénieurs et
seulement 6 % des cadres dirigeants comprennent l'anglais. L'enjeu
pour le Brésil est donc de miser sur les formations appropriées car
jusqu'ici, les universités étaient disparates. Cela est en train de
changer. Il existe plus de 140 communautés au Brésil et 36 000
entreprises à forts potentiels. Cette mosaïque de culture a fait
naître un esprit d'ouverture et qui joue bien sûr un rôle essentiel
dans la capacité à innover. Les Brésiliens ont manifestement bien
compris l'intérêt d'être en réseau.

Source : http://www.atelier.net/fr/articles/bresil-troisieme-pays-prefere-investissements-directs-letranger

Brésil : un acteur de l'e-commerce prometteur

Au Brésil, la croissance de l'e-commerce va bon train malgré une
culture du crédit peu développée. Pour poursuivre cette dynamique, la
logistique et la formation devront être renforcées.

Le marché du commerce en ligne tire son épingle du jeu au Brésil. Il
connaît en effet le taux de croissance le plus élevé de l'Amérique
Latine avec une augmentation de 40 % en 2010. Soit un marché qui pèse
aujourd'hui près de 14 milliards de dollars*. Dans ce contexte,
Everson Lopes, directeur de développement d'Ideiasnet (une entreprise
brésilienne qui investit dans les sociétés de télécommunications et de
marketing et les aide à renforcer leur position ndlr) a fait
l'acquisition le 26 mai dernier, de la plate-forme d'e-commerce
Ciashop. Pourquoi tant d'effervescence autour des affaires en ligne ?
Everson Lopes explique que « pour les petites et moyennes entreprises
brésiliennes, se lancer dans l'e-commerce est un gage d'innovation qui
séduit les clients. Cela leur apporte un canal de communication
supplémentaire et une performance d'exécution des ventes assez inédite
».

Une professionnalisation encore débutante

Selon lui, l'e-commerce a de l'intérêt parce qu'il se décline en deux
phases complémentaires et jusqu'ici inédites sur un même canal de
communication : la recherche et la comparaison de prix. L'autre raison
à cette adoption croissante du commerce en ligne, c'est l'engouement
pour le discount, dont le principal acteur au Brésil est le géant
Groupon.
Mais à en croire Everson Lopes, la génération des professionnels de
l'e-commerce se forme peu à peu. Pour l'instant, le marché manquerait
encore de talents. « Pour beaucoup, cette plateforme est la première
expérience en ligne. Les e-commerçants devront franchir pas à pas la
complexité d'utilisation des outils. Cela prendra du temps mais les
Brésiliens ont une bonne adoption du web pour y arriver » ajoute
Everson Lopes. Selon lui, Groupon est une plate-forme de référence car
les PME peuvent ainsi atteindre la clientèle sans pour autant devoir
se lancer dans de gros investissements de communication.

Faire face à la barrière du crédit

« Du côté des consommateurs, ajoute Everson Lopes, du fait que les
transactions se fassent par carte bancaire, le crédit devient un
nouveau challenge à dépasser. » En effet, payer à crédit représente
une barrière, car les Brésiliens n'ont pas ce passé d'emprunteur,
cette culture du crédit. Autre constat, pour que la croissance se
poursuive, le développement du réseau à large bande est essentiel, en
particulier dans les zones plus éloignées où des infrastructures
manquent et doivent ainsi être développées. « Parler du réseau 3G est
un peu prématuré : nous avons toujours 40 % de la population totale
qui n'a pas accès au web » conclut Everson Lopes.

*Selon des chiffres de la plate-forme d'e-commerce e-bit et rapportés
par Everson Lopes

Source : http://www.atelier.net/fr/articles/bresil-un-acteur-de-l-e-commerce-prometteur

23.6.11

Fiep e ABVCAP promovem o I Fórum Sul-Brasileiro de Investimentos

Investidores terão a oportunidade de conhecer de perto as empresas
mais promissoras do Sul do Brasil !

A Federação das Indústrias do Paraná (Fiep), por meio do Núcleo de
Capital Inovador e do Centro Internacional de Inovação (C2i), em
parceria com a Associação Brasileira de Private Equity & Venture
Capital – ABVCAP, irá reunir no dia 12 de julho, em Curitiba, 24
empresas dos Estados do Paraná, Santa Cataria e Rio Grande do Sul,
além de investidores de todo o Brasil, no I Fórum Sul-Brasileiro de
Investimentos. O evento tem o apoio da FINEP, ABDI, das gestoras de
fundos de investimento CRP Cia de Participações, Trivèlla, BZPlan e C
Ventures, da Associação Catarinense de Empresas de Tecnologia (ACATE),
e das Federações das Indústrias de Santa Catarina (Fiesc) e do Rio
Grande do Sul (Fiergs).

O Fórum teve início com a seleção criteriosa de empresas que terão a
oportunidade de apresentar seus cases para potenciais investidores. O
Núcleo de Capital Inovador da Fiep recebeu mais de 140 inscrições.
Destas, a banca avaliadora formada por empresários, representantes de
fundos de investimento e da FINEP, escolheu 24 empresas, oito de cada
um dos três estados participantes. De acordo com o diretor do Centro
Internacional de Inovação (C2i) da Fiep, Filipe Cassapo, a banca fez
uma seleção de empresas de alta performance e em segmentos promissores
da economia brasileira. "Vamos apresentar para os investidores
empresas nas áreas de Tecnologia da Informação e Comunicação (TICs),
Biotecnologia, Agronegócios, Metalmecânica, entre outros segmentos.
Todas inovadoras e com grande potencial de rentabilidade", afirma
Cassapo.
Para o presidente da ABVCAP, Sidney Chameh, essa é uma excelente
oportunidade para empresas e para investidores. "Esse é um momento
único, tanto para empreendedores, que buscam investimentos para
alavancar seus negócios, como para investidores que estão atentos a
boas oportunidades".

As 24 empresas selecionadas foram divididas em duas categorias: Seed,
para empresas com faturamento até R$ 5 milhões; e Venture, composta
por empresas com faturamento acima de R$ 5 milhões. Além da
oportunidade de apresentar seus cases para potenciais investidores,
estas empresas estão recebendo consultoria de especialistas para que
suas apresentações sejam de alta qualidade. "As empresas na categoria
Seed já possuem um plano de negócios bem desenvolvido e deram seus
primeiros passos de forma sólida. Na categoria Venture, a maior parte
das empresas possui faturamento acima de R$ 15 milhões e histórico
crescente de rentabilidade. Ainda assim, para as apresentações durante
o Fórum, que será no formato pitch, elas poderão contar com
consultoria dos especialistas em investimentos para a elaboração dos
projetos", explica Cassapo.

Investidores interessados ainda podem se inscrever :

Para os investidores interessados em participar do I Fórum
Sul-Brasileiro de Investimentos, as inscrições podem ser feitas no
site www.c2i.org.br/forumdeinvestimentos
Podem se inscrever Investidores Anjos, Fundos de Investimentos e
também Investidores Institucionais. O Fórum será realizado no Cietep,
em Curitiba, no dia 12 de julho, das 8h30 às 19h30. Mais informações
no site e pelo telefone (41) 3271-7458.

Fonte : www.abvcap.com.br

6.6.11

Fundo de R$ 100 milhões busca pequenos projetos

Inovação une banqueiros, biólogo e empresários - buscam entre 10 e 20
negócios inovadores para investir

O que há em comum entre três banqueiros, três empresários do ramo de
cosméticos, um ex-executivo do mercado financeiro e um biólogo?
Resposta: a veia empreendedora, que resultou na criação de um fundo de
R$ 100 milhões para investir em projetos de inovação tecnológica e
científica.

Entre os investidores, estão três nomes de peso do setor bancário:
Pedro Moreira Salles, da família que criou o Unibanco e hoje
presidente do conselho de administração do Itaú Unibanco; Fernão
Bracher, fundador do banco BBA e atual vice-presidente do conselho do
Itaú BBA; e seu filho Cândido Bracher, presidente do Itaú BBA. Com
eles estão os três fundadores da Natura - Luiz Seabra, Pedro Passos e
Guilherme Leal.

Compõem ainda a lista Eduardo Vassimon, bastante conhecido no mercado
financeiro e um dos executivos mais próximos de Fernão Bracher na
época da compra do BBA pelo Itaú, e Fernando Reinach, um biólogo que
foi o diretor responsável pelo braço de private equity do grupo
Votorantim, na Votorantim Novo Negócios.

O objetivo desses investidores é preencher uma lacuna que existe no
Brasil de identificar e apostar em negócios inovadores, que muitas
vezes não passam apenas de uma ideia inicial. "Estamos em busca de
boas histórias, que sejam originais e viáveis comercialmente, mesmo
que elas ainda estejam apenas na cabeça de um cientista dentro de um
laboratório", diz Reinach, que além de investidor será um dos gestores
do fundo juntamente com Vassimon.

Nos Estados Unidos, esses fundos, chamados de "venture capital", ou
capital de risco, são muito difundidos e procuram projetos
especialmente no mundo acadêmico. "Não é à toa que os escritórios de
muitos desses fundos ficam em frente às grandes universidades, como a
de Stanford, na Califórnia", cita Reinach.

Empresas americanas importantes como American Airlines, Fedex, Google
e Facebook nasceram de pequenos investimentos de fundos de venture
capital e da crença de investidores de que essas ideias se
transformariam em negócios rentáveis.

Segundo Vassimon, o fundo, batizado de Pitanga, já está olhando alguns
projetos, mas ainda não há nada em fase de negociação. Por se tratar
de um investimento de maior risco, o objetivo é aplicar os R$ 100
milhões numa quantidade maior de pequenas empresas ou projetos - entre
10 e 20 -, até para que as apostas bem-sucedidas compensem os
fracassos. Reinach lembra que no fundo do Votorantim, por exemplo,
foram analisados 1.200 projetos, para se investir em 12 deles e apenas
quatro deram certo.

No mundo, a taxa de sucesso dos fundos de venture capital é bastante
baixa, um investimento a cada dez. Por esse motivo, os projetos
vencedores precisam oferecer retornos acima de 40% ao ano, para que
assim os fundos consigam uma rentabilidade de no mínimo 20% ao ano,
explica Reinach. Nos melhores fundos multiplica-se o patrimônio
investido entre 10 e 15 vezes. "O retorno precisa ser alto para
compensar o risco de se apostar em novas ideias que também é
considerável", diz ele.

Vassimon afirma que não existe uma meta de retorno mínimo entre os
oito investidores, mas que obviamente ambicionam o maior ganho
possível. Não há também uma definição dos setores nos quais buscam
encontrar boas oportunidades de negócios. "Não importa o ramo de
atuação, precisa apenas ser uma boa ideia e com grandes chances de se
tornar líder em seu mercado", explica Reinach.

Além da própria rede de contatos dos oito investidores, que não é
pequena, o Pitanga vai garimpar boas oportunidades em universidades e
até no exterior. O fundo poderá ser acionista majoritário das
companhias ou minoritário, mas com participação no acordo de
acionistas. Nos casos em que há apenas uma ideia, o fundo vai,
inclusive, participar da criação da empresa.

O mercado de venture capital no Brasil ainda é incipiente, mas deve
crescer juntamente com a participação do Brasil na produção científica
mundial, que hoje está em torno de 2%, completa o biólogo Reinach.
Valor 26.5.2011

Source : Blog; O desafio da inovação no Brasil

31.5.11

"Il faut penser l'innovation comme un service, et à l'international"

Pour s'étendre, l'argentin Globant s'est dès sa naissance positionné
comme un acteur international de l'innovation. C'est seulement
maintenant qu'elle lorgne vers le marché local.

Entretien  avec Guibert Englebienne, l'un des quatre cofondateurs et
CTO de Globant, spécialisée dans le développement de software et
webservices.

L'Atelier : Votre société connaît l'une des plus fortes croissances en
Amérique du Sud, mais pourquoi une majorité de votre clientèle
est-elle hors du continent ?
Guibert Englebienne : Nous travaillons dans un marché dynamique à
l'international, et uniquement à l'international. 99 % des revenus de
Globant proviennent des Etats-Unis ou de l'Europe, et 80 % de nos
salariés sont en Argentine et en Colombie. L'idée était dès le départ
de penser "international" tout en profitant du potentiel national, et
cela également dans un but de création de valeur. Maintenant que la
société, née en 2003, a connu une croissance spectaculaire (nous
sommes plus de 2000) il sera possible de penser local, mais ici les
barrières du business sont difficiles à franchir. Je parle des
problèmes de manque de transparence, de corruption etc.

Vous dites que vous vendez de l'innovation comme un service, en quoi
cela consiste-t-il ?
Nous pensons que l'innovation vient des esprits les plus créatifs,
nous proposons pour cela de mettre à disposition de nos clients des
équipes pointues dans les technologies artistiques, les "blending
innovations". L'innovation est donc un service et nous opérons des
projets de recherche et développement pour le compte des clients afin
de leur permettre de bénéficier des meilleures technologies. Nous
avons par exemple créé un réseau social pour Nike, ou encore
accompagné Google dans son "open social initiative", qui consistait à
réfléchir à l'instauration de standards pour les applications, afin
qu'elles puissent être performantes sur différents types de réseaux.
Ce n'est pas de l'exécution pure, les clients viennent nous voir, et
nous leur proposons les technologies et les projets qui pourraient
leur convenir au mieux.

Vous êtes attaché à votre présence en Argentine alors que votre
clientèle s'internationalise, à quelle stratégie cela répond-il ?
Nous restons en Argentine car cela répond à une stratégie sociale, que
nous partageons avec le réseau d'Endeavor. Il s'agit en effet de
promouvoir les entrepreneurs locaux et les hauts diplômés du monde
entier en les faisant venir ici afin de prouver que des pays comme les
nôtres ont de forts potentiels de croissance, sans nous empêcher de
nous développer à l'international. L'idée, c'est de prouver qu'il est
possible de créer de la valeur au niveau local, en ayant un impact
global. Comme Endeavor, nous pensons que dans les dix prochaines
années, le dynamisme de l'Amérique du sud viendra principalement des
entrepreneurs, ce n'est donc pas si stratégique de s'implanter
ailleurs.

Source: http://www.atelier.net/articles/faut-penser-linnovation-un-service-linternational

Sebrae vai aplicar R$ 800 milhões em projetos de inovação

Presidente da instituição, Luiz Barretto, diz que é preciso elevar a
participação das micro e pequenas empresas no PIB nacional

Regina Mamede

Para promover a inovação dos pequenos negócios, o Sebrae vai aplicar
nos próximos três anos cerca de R$ 800 milhões. A instituição vai
bancar entre 85% e 90% dos custos e as empresas bancarão a diferença.
A afirmação foi feita pelo presidente da instituição, Luiz Barretto,
durante o XXIII Fórum Nacional, nesta terça-feira (17), no Rio de
Janeiro.

Segundo Barretto, a proposta é elevar a competitividade e
produtividade das empresas para que elas possam concorrer com os
produtos chineses. Ele ressaltou ainda que os pequenos negócios
representam 99% do total de empresas e respondem por mais de 50% da
contratação da mão de obra formal. No entanto, participam apenas com
20% do Produto Interno Bruto), metade do percentual dos países
desenvolvidos e perde até em comparação com a Argentina e o Chile.

"Não há como planejar o futuro sem pensar na inclusão das empresas
deste porte. A inovação, que não é apenas tecnológica, mas de gestão,
é um tema fundamental, e o Sebrae tem uma agenda vinculada a este tema
para aumentar a competitividade e produtividade. A meta deste ano é
atingir cerca de 30 mil empresas com processos de inovação".

O presidente do Sebrae também destacou o trabalho que está sendo
desenvolvido para que as MPE se preparem para aproveitar as
oportunidades proporcionadas com a Copa do Mundo e a Olimpíada. "A
metodologia poderá ser aplicada em outras áreas como a construção de
hidrelétricas e pré-sal. O empreendedorismo pode ser uma porta
importante para reduzir desigualdades".

Serviço
Agência Sebrae de Notícias: (61) 3243-7851/ 3243-7852/ 8118-9821
Central de Relacionamento Sebrae: 0800 570 0800
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