Le Grand prix de Paris Innovation 2007

Le Grand prix de Paris Innovation récompense les porteurs de projets d'entreprises innovantes dans les secteurs du numérique, des biotechnologies, des sciences de l'ingénieur et de l'environnement. Le projet devra contribuer à développer une économie durable à Paris et à créer des emplois.

Placé sous le patronage de Bertrand DELANOË, le Grand prix de Paris Innovation récompense les porteurs de projets d'entreprises innovantes dans les secteurs du numérique, des biotechnologies, des sciences de l'ingénieur et de l'environnement. Le jury, présidé par Danièle AUFFRAY, Adjointe au Maire chargée des Nouvelles Technologies et de la Recherche, sera particulièrement attentif au caractère innovant de la technologie et à son lien avec le monde de la recherche, à la crédibilité économique du projet et à ses qualités sociales et environnementales. Le projet devra contribuer à développer une économie durable à Paris et à créer des emplois. Pour la 8ème édition, la/e lauréat-e recevra la somme de 8 000 € et aura l'opportunité d'intégrer l'incubateur de Paris Innovation.

Le Grand Prix de Paris Innovation est organisé par Paris Développement, l'agence de développement économique de Paris, qui est en charge de l'instruction des dossiers.

Peut participer à ce concours toute personne physique résidant en France, quelle que soit sa nationalité, son statut ou sa situation professionnelle, ainsi que tout Français résidant à l'étranger et tout ressortissant d'un Etat membre de l'Union Européenne, dont le projet porte sur la création et/ou le développement d'une entreprise de technologies innovantes.

Clôture des candidatures : vendredi 5 octobre 2007

Source: http://www.reseau-tee.net

Suez lorgne la compagnie brésilienne Brasiliana de Energia

Suez est prêt à reprendre la totalité du capital de la compagnie brésilienne Companhia Brasiliana de Energia. Le groupe français pourrait dépenser jusqu'à 3,8 milliards d'euros pour étoffer sa présence au Brésil où il produit 8% de l'électricité locale.

Le groupe Suez pourrait faire l'acquisition de la compagnie brésilienne Companhia Brasiliana de Energia via sa filiale Suez Energy International pour un montant de 3,8 milliards d'euros, a annoncé mercredi le président de sa filiale brésilienne. "La cession de Brasiliana est déjà une réalité et nous étudions le dossier avec beaucoup d'attention", a déclaré à l'agence Reuters Mauricio Bahr.

La Banque nationale de développement du Brésil (BNDES) envisage de céder sa part dans la Brasiliana de Energia avant la fin de l'année. L'américaine AES Corp, qui détient la compagnie brésilienne, peut exercer son droit de préemption sur cette part. Dans le cas contraire, précise Mauricio Bahr, Suez serait partant pour reprendre tout le capital de la Brasiliana de Energia pour environ 10 milliards de real (3,8 milliards d'euros).

Suez est déjà présent au Brésil, où le groupe produit 8% de l'électricité locale via sa filiale Tractebel Energia.

source: latribune.fr

Brésil : Suez construira une centrale à la biomasse de canne à sucre

SUEZ Energy International va construire une centrale alimentée à la biomasse de canne à sucre au Brésil SUEZ Energy International a annoncé la construction d'une nouvelle centrale de cogénération alimentée par de la biomasse de canne à sucre à São Jõa da Boa Vista, dans l'Etat de São Paulo (Brésil).

Avec une capacité installée de 70 MW, la centrale thermoélectrique de São João sera construite en partenariat avec Dedini Açucar e Álcool, groupe agro-industriel local, qui consommera 47 MW d'électricité ainsi que la vapeur produite par la centrale. Tractebel Energia, la société de production brésilienne de SUEZ Energy International, détiendra une participation de 63% dans le projet, le reste étant détenu par Dedini Açucar e Álcool. L'usine sera mise en production le 1er janvier 2010.

Financé à 70% par la BNDES

L'énergie produite par la centrale a déjà été vendue par Tractebel Energia lors de la première vente aux enchères d'énergie alternative, organisée au Brésil mi-juin 2007. Tractebel Energia a en effet vendu 23 MW à 141,16 R$/MWh (55,3 EUR/MWh) à un groupement de distributeurs dans le cadre d'un contrat d'achat d'énergie électrique (PPA) sur 15 ans. La BNDES, la banque de développement du Brésil financera jusqu'à 70% du coût d'investissement total - 155 millions de R$ (60 millions d'EUR) - de la centrale, par le biais d'une ligne de crédit spéciale destinée aux projets de biomasse.

« La centrale de São Jão constitue le premier investissement de SUEZ sur le plus grand marché de consommation énergétique du pays, l'Etat de São Paulo, où sont implantés un grand nombre de ses clients industriels », a expliqué Dirk Beeuwsaert, CEO de SUEZ Energy International « Le projet va diversifier les sources de production thermique de Tractebel Energia et lui permettre de bénéficier de crédits carbone dans le cadre du 'Carbon Development Mechanism' du Protocole de Kyoto. »

L'industrie de la canne à sucre au Brésil est en plein essor grâce à la production de bioéthanol, qui est d'ores et déjà largement utilisée dans le pays comme carburant respectueux de l'environnement.

Plus gros producteur privé d'électricité

Tractebel Energia, le plus grand producteur privé d'électricité du Brésil, est actif dans les Etats de Santa Catarina, Rio Grande do Sul, Paraná, Mato Grosso do Sul et Goiás. Il exploite 13 centrales électriques, dont 6 hydroélectriques et 7 thermiques. Sa capacité installée atteint un total de 6 870 MW, dont 79% sont de source hydroélectrique. La société possède la centrale biomasse de Lages dans l'Etat de Santa Catarina et gère des projets de cogénération, dans un stade de développement avancé, utilisant des déchets de canne à sucre.

source: http://www.enviro2b.com/info/3531/article.html

VOLTALIA - Nouveau projet éolien en France

Anelia, la filiale de co-développement de Voltalia et Anemos lance un nouveau projet éolien de 44 MW en France.

Ce projet va donc porter à 234 MW le portefeuille éolien d'Anelia qui développe déjà cinq fermes éoliennes dans l'hexagone.

source: http://www.enviro2b.com

Grand prix de Paris Innovation 2007

Le Grand prix de Paris Innovation, organisé par Paris Développement, récompense les porteurs de projets d'entreprises innovantes dans les secteurs du numérique, des biotechnologies des sciences de l'ingénieur et de l'environnement.

Placé sous le patronage de Bertrand DELANOË, le Grand prix de Paris Innovation récompense les porteurs de projets d'entreprises innovantes dans les secteurs du numérique, des biotechnologies, des sciences de l'ingénieur et de l'environnement.

Le jury, présidé par Danièle AUFFRAY, Adjointe au Maire chargée des Nouvelles Technologies et de la Recherche, sera particulièrement attentif au caractère innovant de la technologie et à son lien avec le monde de la recherche, à la crédibilité économique du projet et à ses qualités sociales et environnementales. Le projet devra contribuer à développer une économie durable à Paris et à créer des emplois.

Pour la 8ème édition, le lauréat recevra la somme de 8 000 € et aura l'opportunité d'intégrer l'incubateur de Paris Innovation.

Le Grand Prix de Paris Innovation est organisé par Paris Développement, l'agence de développement économique de Paris, qui est en charge de l'instruction des dossiers.

Télécharger votre dossier de candidature :

http://www.parisdeveloppement.com/fileadmin/user_upload/Grand_Prix/dossier_de_candidature.zip

Informations pratiques

- Clôture des candidatures : vendredi 5 octobre 2007
(cachet de la Poste faisant foi lors de l'envoi du dossier par courrier et la date de l'e-mail lors de l'envoi par internet)

- Par e-mail : prixinnovation@parisdeveloppement.com

- Date de la cérémonie du Grand prix de Paris Innovation : jeudi 13 décembre 2007 à l'Hôtel de Ville

Source : http://www.parisdeveloppement.com/  

Innovation : un lave-linge sans lessive

Haier, géant de l'électroménager chinois, a développer le premier lave-linge qui ne nécessite pas de lessive.

WasH2O, c'est son nom, propose un procédé d'électrolyse de l'eau pour un lavage sans détergent, en complément des programmes de lavage avec lessive. Les salissures du linge sont attirées et retenues par les ions OH-, tandis que le linge est stérilisé par les ions H+.

Ce procédé de lavage évite donc l'utilisation de lessives et, selon le fabricant, cela ne se fait pas au détriment des performances avec une classe d'efficacité AAB (énergie / lavage / essorage). Le seul point faible de ce produit serait son prix puisqu'il est proposé à 699 €, ce qui fait de lui un produit haut de gamme. L'écologie a donc un prix, mais qui peut rapidement être amorti par les économies réalisées sur l'achat de lessive.

source: http://www.enviro2b.com/info/3389/article.html

MCT promete mais recursos

O ministro da Ciência e Tecnologia, Sérgio Rezende, afirmou que a Financiadora de Estudos e Projetos (Finep) deve divulgar, entre dois e três meses, um novo edital para subvenção econômica pela Lei de Inovação.

O financiamento a fundo perdido deve seguir o mesmo rito e valores de edital lançado no ano passado, que disponibilizou uma verba de 300 milhões de reais. "O prazo para o lançamento do edital ainda está indefinido porque a diretoria da Finep acabou de ser empossada", disse Rezende.

Por Eduardo Vasques

fonte: http://www.b2bmagazine.com.br

Banco do futuro

Na discussão sobre o banco do futuro que aconteceu hoje durante o Ciab Febraban, os representantes da indústria de TI foram enfáticos sobre as modificações que devem ocorrer no relacionamento com o cliente por meio da mobilidade e das formas de autenticação. Com isso, as instituições devem receber também uma grande quantidade de novos clientes, hoje não bancarizados.

"A forma de autenticação da maneira como é hoje não é razoável. Isso é um paradigma que precisa ser quebrado, com o uso de biometria, por exemplo", acredita Maurício Minas, vice-presidente sênior da CPM Braxis. Para o executivo, não é seguro e nem prático ter muitos cartões de identificação e o mercado precisa de novas alternativas.

Além disso, Minas afirma que a intermediação feita somente pelos bancos não é um modelo ideal e é preciso explorar novos canais de contato com os clientes. O próprio mercado está mostrando o que quer, já que a informação está disponível nas comunidades na Internet e as pessoas buscam um modelo de negócios com esse formato de interação e com uma forma diferenciada de relacionamento.

O banco do futuro vai estar muito mais focado na eficiência operacional e em um modelo que vai deixar de ser transacional para ser uma loja de negócios. "Inovação é muito mais serviço do que produto, porque o produto se torna rapidamente commodity", explica Abud Júnior, vice-presidente da divisão da América Latina da Diebold Procomp. "Por este motivo, as empresas de tecnologia precisam apresentar serviços diferenciados contemplem exatamente essa eficiência operacional esperada".


Para onde vão as agências?

Com a mudança de valor da agência para o cliente, muitos acreditam que ela vai deixar de existir da forma como a conhecemos hoje. Para Abud ela não desaparece, mas se transforma. "Ela deixa de ser um espaço físico de pessoas que pagam contas e resolvem problemas para ser uma loja de negócios e intermediação financeira", explica.

Com a idéia do mundo virtual cada vez mais presente na cabeça dos consumidores, uma questão que aparece é se o surgimento de mundos sintéticos como o Second Life vai interferir na forma de fechar negócios e se muitas das transações poderão passar para a esfera virtual. "Nós estamos vivendo em um momento em que os blogs, e inclusive o Second Life, estão muito presentes na vida das pessoas e as corporações também estão adentrando este contexto, porém eu não acredito que o relacionamento físico venha a acabar, porque as pessoas sempre se sentirão mais seguras dessa forma", diz Guilherme Archer Castilho, diretor geral da Itautec.

Rogério Oliveira, presidente da IBM Brasil acredita que apesar disso essas comunidades virtuais podem ser bastante exploradas. "Eu dei um treinamento todo pelo Second Life; isso tende a evoluir ainda mais com a entrada de voz, por exemplo", afirma. Para ele a pressão para que os bancos entrem nesse novo mundo vai acontecer, mas tornar isso realidade vai depender da flexibilidade das instituições e da aceitação da população.

O relacionamento também se torna uma incógnita quando se pensa nas transações com os celulares que podem substituir movimentações que hoje são feitas dentro dos bancos. Para Maurício Minas, a mobilidade ainda está em estágio de teste, e assim deve permancer por um tempo, para que o mercado saiba de que forma isso vai modificar as relações de negócio.

Para Luiz Eduardo Falco, presidente da Oi, os celulares serão os equipamentos do futuro no que se refere a transações móveis. Mesmo os celulares pré-pagos, maioria do mercado, já tem tecnologia para ingressar nesse contexto, com hot billing, tecnologia que permite a tarifação do que os usuários consomem.

"A tecnologia está aí, o problema é muito mais comercial e mercadológica dos bancos", afirma Abud. O mercado financeiro brasileiro está muito à frente dos de outros países. Resta apenas colocar as tecnologias em uso e garantir a bancarização.

"A bancarização é muito mais um problema social do que tecnológico e dos bancos. O que nós podemos fazer é modificar os modelos de negócios para cobrar tarifas mais baixas e permitir a inclusão de um público que hoje não pode pagar pelos serviços", afirma Minas.

Por Fabiana Lopes

fonte: http://www.b2bmagazine.com.br

La France fourmille d'aides à l'innovation méconnues

Je vais détailler ici des aides dont je bénéficie sans même connaître le bord politique ni même la "strate" de décision gouvernementale qui en sont à l'origine. Je souhaite seulement dresser la liste des outils qui sont à ma disposition, en tout cas ceux que j'ai identifiés. Car en la matière, il s'agit du point le plus compliqué : trouver ceux qui existent ! Si comme moi vous n'êtes pas un spécialiste des aides aux entreprises, un bon comptable est important pour trouver et mettre en oeuvre les mesures dont vous pouvez bénéficier. Il semble que trop peu d'entrepreneurs se soient lancés dans cette démarché, puisque que pour certains budgets d'aide, plus de la moitié de la dotation allouée ne serait jamais sollicitée !

«Pour certaines aides, la moitié des budgets alloués n'est pas dépensée »

Face à la main-d'oeuvre bon marché des pays émergeants, l'innovation est plus que jamais l'un des piliers de la croissance des économies développées. Mais à en croire le climat de pensée ambiant, la France ne serait pas un terreau fertile pour les entreprises innovantes. Christophe Camborde, le PDG de l'éditeur Agematis veut tordre le cou à ces idées préconçues.

Tout d'abord que les choses soient claires. Je ne fais pas de politique. Je donnerai donc pas de carton rouge ou de bons points aux 65 milliards d'euros d'aides de l'état aux entreprises (exonérations 35heures incluses). Mon but est d'exposer l'expérience que j'ai acquise depuis 2004, en co-fondant Agematis, une société créatrice d'une solution de sauvegarde de données en ligne automatique via un logiciel de sauvegarde externalisé.

Tout d'abord lorsqu'une entreprise est créée, elle est exonérée de charges patronales pendant un an pour son premier salarié. Ce qui signifie que tous les frais engendrés par ce salarié sont réduits de 20% pendant cette période. L'idée, je suppose, est de favoriser l'embauche. Cette mesure ne me semble pas trop incitative. Faire la même chose sur un deuxième salarié permettrait certainement de trouver un gisement d'emploi des entreprises à un salarié qui pensent ne pas avoir assez de visibilité sur leur évolution pour en embaucher un deuxième.

Une entreprise dans le domaine de la technologie peut bénéficier de mesures spécifiques qui me semblent très bien vues. Il faut généralement être petit et jeune pour en bénéficier.

Tout d'abord le statut " JEI " (jeune entreprise innovante). Il dure 7ans et pour résumer exonère de charge patronale toute la masse salariale dédiée à la recherche et développement. Dans mon cas cette mesure représente une somme significative car un peu plus de la moitié de ma masse salariale concernée. Ce statut exonère aussi d'impôt sur les sociétés ce que je comprends moins par contre.

Le CRI " crédit impôt recherche " est un impôt négatif. Pour simplifier, il s'agit de mesurer les dépenses de l'entreprise dans le domaine de la recherche et du développement et d'y appliquer un coefficient similaire à celui de l'impôt sur les sociétés. L'on obtient alors une somme qui est un crédit d'impôt remboursable en mai (ne pas rater cette date car ce n'est qu'une fois par an !). Dans mon cas cela représente plus de 100 000 € cette année ce n'est donc pas négligeable. Le CRI se cumule avec le JEI.

Les " Gazelles " est un statut destiné aux sociétés en forte croissance, technologique ou non. Il faut avoir une masse salariale qui augmente de plus de 15% d'une année sur l'autre et cela se mesure au mois le mois. L'on peut alors bénéficier d'un an de report de charges salariales sur le surplus. Il ne s'agit pas d'une subvention donc mais plutôt d'une facilité de caisse accordée par l'état et pour améliorer la trésorerie des petites entreprises.

L'Oseo/Anvar est un organisme qui dispose de moyens considérables pour aider les entreprises qu'il considère innovantes.

Il est à déplorer que la labellisation ANVAR soit payante (environ 3 000 €) mais elle est nécessaire pour accéder à certains véhicules d'investissements comme les FCPI.

Alors vous l'aurez compris je suis très optimiste et très heureux d'entreprendre sur le sol national. Je ne suis pas certain que nos voisins aient mis autant de mesures en place pour soutenir leurs jeunes pousses techno.

Auteur : Christophe Camborde

Source : http://blog.camborde.com/2007/05/entreprendre_en.html

FONDATION EUROPE PLUS - INNOVATION : LA SILICON VALLEY CHERCHE PARTENAIRES EN EUROPE

28 et 29 juin 07 : la « World Investment Conference » accueille le premier « California Technology Showcase »

The World Investment Conference 2007

California Technology Showcase 2007

PARIS--(BUSINESS WIRE)--

La World Investment Conference 2007, qui se déroulera les 28 et 29 juin prochains à La Baule, créera l'événement avec le premier « California Technology Showcase », véritable plate-forme de rencontres entre les élites de l'innovation californienne et européenne.

A cette occasion, 40 chefs d'entreprises des secteurs « High Tech » de la Silicon Valley rencontreront les grandes entreprises Européennes pour investir et se développer en Europe. Ces entreprises ont été sélectionnées par un jury de dirigeants d'entreprises internationales, parmi 800 candidatures.

Cette initiative inédite a pour ambition de faire émerger les meilleurs pratiques et d'établir une coopération transatlantique renforcée entre entreprises, centres de recherche, universités et territoires, en faveur d'une nouvelle dynamique de création de l'innovation.

La délégation californienne pourrait être conduite par Amold Schwarzenegger, Gouverneur de Californie, et par plusieurs responsables chargés des politiques du transport, des technologies et de l'environnement.

Les temps forts de la « California Technology Showcase » :

• 200 rendez-vous individuels
• 8 tables rondes sectorielles réunissant des experts américains et européens (Top exécutifs de Intel, STMicroelectronics, Cap Gemini, BT, SAP, etc.)

« La Californie reste aujourd'hui le berceau mondial de l'innovation. Le « California Technology Showcase », dans le prolongement des missions de la World Investment Conference, constitue une opportunité unique de développement exogène de l'innovation en Europe. Il sera l'occasion, par ailleurs, d'étuder et de comparer les modèles de partenariat entre universités, centres de recherches, territoires et entreprises.

Ce partenariat transatlantique entre l'Europe et la Silicon Valley est, à cet égard, une rencontre entre deux éco-systèmes qui offrira à l'Europe les clés de la création des entreprises « high tech » à croissance rapide »,

déclare Pierre Guénant, Président de la WIC.

La « World Investment Conference », initiée par la France avec le soutien de la Commission européenne, réunit chaque année depuis 5 ans, plus de 700 responsables économiques et politiques de haut niveau, pour ensemble renforcer l'attractivité de l'Europe et de ses territoires.

Le thème de cette année sera :

« Comment l'Europe peut-elle devenir un modèle d'excellence environnementale et renforcer l'attractivité de ses territoires pour les investissements, les technologies et les capitaux écologiquement responsables ? »

www.labaulewic.org

A propos de la Fondation Europe +

La Fondation Europe +, indépendante et libre de toute influence, fournit des outils d'analyse et de gouvernance des politiques d'attractivité pour l'Union européenne, les Etats membres et leurs territoires. Elle a pour vocation à pérenniser les réflexions des groupes de travail de la WIC et garantir le suivi des recommandations adressées à la Commission et au Parlement européens ainsi qu'aux Gouvernements des Etats membres.

« Europe+ est une dynamique fondée sur l'échange de bonnes pratiques, la diversité de ses membres et la pluralité de ses expériences. Nous ne sommes ni un lobby à la solde d'intérêts particuliers, ni un think tank délivrant des analyses générales ou purement théoriques » concluent-ils.

Le think tank de haut niveau d'Europe+, placé sous la présidence de Sir Francis Mackay, est administré par 12 personnalités internationales représentant les milieux d'affaires, institutionnels et universitaires.

www.europeplus.org

Contacts

Axel Bavière
Tél : +33 (0)1 44 43 73 11
axel.baviere@consultants.publicis.fr
ou
Vilizara Lazarova
Tél : +33 (0)1 44 43 74 81
vilizara.lazarova@consultants.publicis.fr

Inovação para as PMEs

Com o objetivo de avaliar a forma como as pequenas e médias empresas estão inseridas no mercado e sua opinião sobre inovação tecnológica, a Anpei (Associação Nacional de Pesquisa e Desenvolvimento das Empresas Inovadoras) ouviu 184 delas nos últimos meses. Os resultados da pesquisa foram apresentados ontem (05), durante a VII Conferência Anpei de Inovação Tecnológica, que está sendo realizada em Salvador, Bahia.

O enfoque da pesquisa foi amplo e trouxe à tona temas como: motivação, práticas gerenciais, captação de idéias, conhecimento e uso de incentivos à inovação. Das 184 empresas, 75 contam com até 19 funcionários, 106 têm entre 20 e 99, e três abrigam mais de 100 funcionários.

Entre os destaques do estudo, a avaliação de 84% dos entrevistados é de que as oportunidades de mercado são propulsoras da inovação. Ficou clara também a visão de que estão sendo renovadas as práticas internas, com uma preocupação maior na capacitação de pessoal e de novas práticas de gestão. Outro dado interessante diz respeito aos incentivos fiscais e não fiscais às atividades inovativas. De acordo com o estudo, 62% das empresas que investem em inovação disseram desconhecer a oferta de incentivos, mas 89% gostariam de conhecer.

Para Martín Izarra, diretor da Anpei e um dos organizadores do estudo, as respostas dadas pelas empresas indicam que elas estão investindo nos processos internos de inovação. No entanto, Izarra fez questão de afirmar que os recursos financeiros são os principais entraves para inovação nas empresas de pequeno e médio portes, e que a falta de recursos humanos e sua capacitação também são relevantes.

Na sua visão, o motor da inovação está no setor de vendas, que traz as idéias e as perspectivas do mercado. Ele acredita que devem ser montadas equipes com profissionais competentes e que estimulem a diversificação e a gestão estratégica da empresa.

L'Indice Brésil de l'Innovation

L'Indice Brésil de l'Innovation (IBI) a été lancé le 24 mai lors du VII Congrès Ibero-Américain sur les Indicateurs de la Science et de la Technologie. Fruit de la collaboration entre l'Université d'Etat de Campinas (Unicamp) et l'Institut Uniemp, il permet d'évaluer l'intensité technologique de chaque secteur industriel brésilien et d'effectuer un classement des entreprises les plus innovantes.

Le classement de l'IBI est divisé en quatre parties selon le degré d'innovation. Dans le groupe des secteurs les plus intenses technologiquement, Delphi est récompensée. Dans la tranche " Moyenne-Haute ", Silvestre Labs prend la première place alors que Brasilata est quant à elle l'entreprise leader de la catégorie " Moyenne-Basse ". Enfin, dans les secteurs à basse intensité technologique l'entreprise Santista Têxtil se place au premier rang.

Notons que plusieurs chercheurs français sont intervenus lors du congrès : Xavier Polanco de l'Institut de l'Information Scientifique et Technique (INIST) du CNRS, Jean Baptiste Meyer et Patrick Séchet de l'Institut de Recherche pour le Développement (IRD).

BE Brésil numéro 100 (1/06/2007) - Ambassade de France au Brésil / ADIT - http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/43045.htm

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Frederico F. Moreira
Paris, France.
+33.6.25.71.74.76

Le CNRC construit la pile à combustible à oxyde solide

La pile à combustible à oxyde solide (Solid Oxide Fuel Cell, SOFC) est une des solutions technologiques les plus efficaces pour contrer la pollution résultant de la dépendance du monde moderne aux énergies fossiles.

Ce dispositif, qui produit de l'électricité, ne pollue pas l'atmosphère, ne fait pas de bruit et libère uniquement de l'eau et de la chaleur.

Afin de perfectionner cette technologie prometteuse, les spécialistes en piles à combustible du Conseil National de Recherches Canada (CNRC) se sont associés au 6ème Programme-Cadre pour la recherche et la technologie (PC) de la Commission Européenne ainsi qu'à des organismes internationaux. La pile à combustible mise au point par le CNRC a déjà atteint les objectifs du Programme fixés pour 2010. "Le projet s'intitule Demonstration of SOFC stack technology for operation at 600°C ou SOFC600", explique Radenka Maric, chef du groupe des piles à combustible à haute température de l'Institut d'Innovation en Piles à Combustible (IIPC-CNRC).

L'objectif final est de créer des piles à oxyde solide économiquement rentables qui produiront efficacement de l'énergie sans polluer. Pour cela, le projet a été morcelé en objectifs plus modestes confiés aux divers membres de l'équipe, afin d'obtenir une SOFC de 1 kW fonctionnant à 600°C d'ici 4 ans. En plus d'être écologiques, les piles à combustible se caractérisent par un bon rendement. Ainsi, le rendement d'une SOFC peut atteindre 70%, en comparaison de 30% pour une centrale thermique. Cependant, il reste des obstacles techniques à surmonter, le principal étant la température.

Actuellement, les SOFC fonctionnent à environ 1000 C, ce qui les détériore rapidement. L'équipe teste aussi de nouveaux matériaux, plus performant et moins chers que le platine actuellement employé. L'autre innovation est la technologie du dépôt réactif par pulvérisation : des pellicules extrêmement minces d'un matériau conducteur sont déposées sur le substrat de la pile avec une très grande précision. Plus les couches sont minces, moins il y a de résistance, d'où une meilleure performance à une température inférieure à celle des piles existantes.