27.2.10

Veolia veut satelliser des start-up éco-innovantes

"Cherche start-up des cleantech, avec innovation concernant les métiers de l'eau, de la propreté, de l'énergie ou du transport. Met à disposition son groupe d'envergure internationale, ses chercheurs, ses installations et son portefeuille clients en échange d'un partenariat technologique poussé. Contacter Veolia Environnement et demander le programme Veolia Innovation Accelerator."

C'est une stratégique atypique, à vocation mondiale, que le groupe français vient de dévoiler lors du 26ème Cleantech Forum de San Francisco !

Plus proche des start-up

De plus en plus, les grands industriels cherchent à se rapprocher des jeunes sociétés innovantes. Certains le font en mettant en place des fonds d'investissement corporate, véritable têtes chercheuses, comme Schneider Electric et Alstom, réunis autour d'un fonds de capital-risque "vert" au sein d'Aster Capital (ex-Schneider Electric Ventures), ou la SNCF avec son fonds Eco-Mobilité Partenaires.

Saint-Gobain a opté pour une autre stratégie, plus ouverte, avec un département External Venturing qui propose aux jeunes pousses des accords commerciaux, du co-développement ou des prises de participation.

Veolia s'engage dans une logique similaire : sa plate-forme Veolia Innovation Accelerator n'a pas en théorie vocation à prendre des participations dans les sociétés repérées. Sauf exceptions !

D'une initiative locale à une commercialisation mondiale

L'objectif  est plus de satelliser des start-up autour de son business. Veolia Innovation Accelerator se veut d'abord une plateforme de veille, pour repérer des écotechnologies potentiellement utilisables. Le deuxième axe du programme vise à adapter et à améliorer ces technologies afin de pouvoir les intégrer aux solutions du groupe.

En échange de leurs éco-innovations, les start-up se verront offrir les avantages d'un grand groupe  : moyens humains et techniques, infrastructures et centres de recherche, puissance marketing, économies d'échelle, force de frappe mondiale, relation publique, etc.

Tous les métiers de Veolia concernés

Cette plateforme de Veolia veut s'intégrer dans un réseau, composé d'universités, d'instituts de recherche, d'investisseurs et des start-up. Trois voies ont été identifiées pour capter les innovations : le portefeuille d'entreprises de capital-risqueurs, le travail du Cleantech Group - avec lequel Veolia a signé un contrat de consulting de 2 ans - et les candidatures spontanées via internet.

Les secteurs visés concernent directement ou indirectement tous les métiers de Veolia Environnement : la bio-ressource, l'eau potable, les eaux usées, le tri, le recyclage, la valorisation des déchets, les villes et les quartiers durables, la production et l'efficacité énergétique, le captage et le stockage du CO2 et le stockage de l'énergie.
 

24.2.10

Brazil awaits approval of huge science budget

Brazil's science community is waiting to see whether this year's bumper science budget will be signed off without being cut.

President Luiz Inácio Lula da Silva approved the budget, which is almost a third higher than last year's, late last month (26 January). If given final approval by Lula in March after being evaluated by the Ministry of Planning, it will be the first time since 1999 that the country's core science budget — managed by the National Fund for Scientific and Technological Development (FNDCT) — has not been cut during the approval process. The Ministry of Science and Technology submitted a science budget of US$3.6 billion to congress in December last year, already an increase on 2009's US$3.2 billion. But parliamentarians — some of whom can decide to provide additional money to specific activities — added a further US$500 million, resulting in a total budget of US$4.1 billion. The budget is often cut by congress — which makes the increase by parliamentarians all the more unusual — and FNDCT's core 'sectoral funds' for research are sometimes cut by the planning ministry.

The 2009 science budget was initially cut but eventually reinstated (see Brazil's government to make up for S&T budget cuts). "In the end, the [2009] cut didn't affect the science and technology system as a whole but it generated an environment of uncertainty among the scientific community," Jacob Palis, president of the Brazilian Academy of Sciences, told SciDev.Net.

Palis said that the current budget is "very promising" but that the academic community must be cautious.

The ministry "has worked exhaustively" to show both congress and society the importance of science and technology (S&T) to the country's development, said executive secretary Luiz Antonio Rodrigues Elias. It is now coordinating the 4th National Conference on Science, Technology and Innovation, to be held in May, which will assess the success of the government's 2007–2010 S&T plan and devise a new four-year strategy. Elias said one of the conference's main aims is to create a state policy on S&T to ensure enough money for science regardless of who the president is.

The 2007–2010 plan focused on 13 priority areas, including biotechnology, nanotechnology, biodiversity and climate change. Elias said the next plan must have a broader scope and take the next ten years into account.

Two further challenges, according to Palis, are linking research and innovation to the production system and both attracting and retaining new scientific talent.
 

Lafarge Renforce Sa Presence Au Bresil Suite A La Cession De Sa Participation Dans Cimpor A Votorantim

Lafarge (Paris:LG) annonce qu'il recevra des actifs cimentiers brésiliens en contrepartie de la vente à Votorantim le 3 février de sa participation de 17,28% dans le groupe portugais Cimpor. Les modalités de paiement étaient dépendantes de l'issue de l'offre publique d'achats en cours sur ce dernier.

Ces actifs font du Groupe l'un des trois premiers opérateurs cimentiers au Brésil avec 7 millions de tonnes sur un marché dynamique, en croissance annuelle moyenne de 5%. Ils permettent à Lafarge, déjà présent avec 4 usines et une station de broyage, d'établir de nouvelles positions sur des marchés régionaux à forte croissance tels que le Nord-Est et le Mid-West, tout en renforçant sa présence autour de Rio de Janeiro dont les perspectives liées aux JO de 2016 et à la Coupe du Monde de Football de 2014 sont prometteuses. Cette acquisition bénéficiera des synergies avec les opérations actuelles du Groupe et de la croissance du marché et aura un impact positif dès 2010 sur le résultat net par action et le ROCE. Elle devrait augmenter le résultat brut d'exploitation de Lafarge au Brésil à hauteur de 85 MEUR dès 2011 et de plus de 100MEUR en 2012.  Cette transaction a permis au Groupe de débloquer sa participation minoritaire dans Cimpor tout en se renforçant au Brésil où Lafarge est présent à travers ses 4 activités : Ciment, Béton & Granulats et Plâtre avec aujourd'hui 1 200 collaborateurs.  Cette dernière étape de la transaction entre Lafarge et Votorantim est notifiée aux autorités brésiliennes de la concurrence.

INFORMATIONS COMPLÉMENTAIRES

A propos de Votorantim

Votorantim est l'un des plus grands conglomérats industriels d'Amérique Latine, présent dans les secteurs du ciment et du béton, de l'énergie, de l'acier, des métaux (aluminium, zinc et nickel), du papier, du jus d'orange, et des services financiers, parmi d'autres.  Votorantim Cimentos, l'unité Ciment et Béton du groupe, se situe parmi les dix premières entreprises mondiales de ciment, béton et granulats. Au Brésil, elle est leader sur son marché, et possède huit unités de production hors du Brésil, dont deux au Canada, cinq aux Etats-Unis et une en Bolivie (Puerto Suarez). Par ailleurs, l'entreprise détient 15% de l'entreprise chilienne Cementos Bio Bio, ainsi qu'une participation de 38% dans les entreprises argentine Cementos Avellaneda et uruguayenne Cementos Artigas S/A.  Votorantim, entreprise brésilienne toujours familiale fondée en 1918, est présente dans 16 pays.

A propos de Lafarge

Leader mondial des matériaux de construction, Lafarge occupe une position de premier plan dans chacune de ses activités : Ciment, Granulats & Béton et Plâtre. Avec 78 000 collaborateurs dans 78 pays, le Groupe a réalisé en 2009 un chiffre d'affaires de 15,9 milliards d'euros. En 2010, pour la sixième année consécutive, Lafarge est répertorié dans la liste des 100 multinationales les plus engagées en matière de développement durable. Doté du premier centre de recherche au monde sur les matériaux de construction, Lafarge place l'innovation au coeur de ses préoccupations, au service de la construction durable et de la créativité architecturale.

Des informations plus complètes sur Lafarge peuvent être obtenues sur son site Internet www.lafarge.com.

Ce document peut contenir des informations de nature prévisionnelle. Ces informations constituent soit des tendances, soit des objectifs, et ne sauraient être regardées comme des prévisions de résultat ou de tout autre indicateur de performance. Ces informations sont soumises par nature à des risques et incertitudes, dont la plupart sont hors de notre contrôle, et notamment ceux décrits dans le Document de Référence de la Société disponible sur son site Internet (www.lafarge.com). Elles ne reflètent donc pas les performances futures de la Société, qui peuvent en différer sensiblement. La Société ne prend aucun engagement quant à la mise à jour de ces informations.
 

20.2.10

Le rôle des banques d’affaires dans l’innovation américaine : entretien avec Dr John Piret

La mission scientifique de Boston s'intéresse de près aux questions d'innovation, de transfert de technologie, de la valorisation et de celles liées à l'entreprenariat. Comme on le sait, aux Etats-Unis, le financement de l'innovation est essentiellement de nature privée, à la différence de la France où les mécanismes d'intervention et d'accompagnement de l'innovation appartiennent à la fois aux sphères publiques et/ou privées.

Aux Etats-Unis, en parallèle des sociétés de capital-risque et des investisseurs providentiels, les banques d'affaires ou d'investissements jouent un rôle très important. C'est la raison pour laquelle la crise financière de 2008 n'a pas été sans impact sur l'économie de l'innovation car tous les compartiments de la finance américaine ont été touchés, d'une façon ou d'une autre.

Afin d'améliorer notre connaissance sur le financement de l'innovation par le secteur bancaire, la Mission pour la Science & la Technologie a rencontré le Dr John Piret du cabinet « Newbury Piret & Company » (NPC), banque d'affaires bien connue sur la place de Boston. Ce cabinet présente la caractéristique de réaliser des fusions / acquisition et des levées de fonds pour des entreprises privées.

Télécharger ci-dessous cette entrevue en format pdf

Cambridge Consultants filiale d’Altran célèbre 50 ans d’innovation

Cambridge Consultants, la filiale d'Altran qualifiée par le Financial Times d'« experte en technologies de rupture », fête ses 50 ans en 2010. Créée en 1960 par trois diplômés de l'Université de Cambridge, l'entreprise s'est développée pour devenir une entreprise leader mondial dans le développement de produits technologiques, employant plus de 300 ingénieurs, technologues et scientifiques sur ses deux sites à Cambridge, au Royaume-Uni, et à Boston, aux États-Unis.

Le travail de cette entreprise réalisé pour de grandes multinationales aussi bien que pour de jeunes entreprises est présent tout autour de nous, depuis le sachet rond que vous utilisez le matin pour faire votre thé jusqu'au système radio dans le sens sol-air utilisé pour le contrôle du trafic aérien aux États-Unis, et de la puce Bluetooth contenue dans votre téléphone portable à l'optoélectronique à très bas prix dans l'un des kits de tests de grossesse les plus connus au monde. Son travail est également visible dans la prospérité des 20 entreprises créées par Cambridge Consultants depuis 1975, parmi lesquelles CSR, le plus grand fabricant mondial de puces Bluetooth, ainsi que Xaar, Domino et Inca Digital, trois des entreprises leader dans la technologie de l'impression laser, initialement conçue par Cambridge Consultants. Conjointement, ces quatre entreprises emploient 3 500 personnes et ont généré plus d'un milliard de dollars de chiffre d'affaires en 2008.

« L'année 1960 a été marquée par d'importants changements sociaux, culturels et technologiques. », précise le Dr Brian Moon, PDG de Cambridge Consultants. « Kennedy venait d'être élu président des États-Unis et avait mis au défi les scientifiques de son pays d'envoyer un homme sur la Lune avant la fin de la décennie. L'effet provoqué par ce défi s'est ressenti dans le monde entier, et il est quasiment certain qu'il a inspiré les fondateurs de notre entreprise de créer une entreprise qui visait au départ à fournir à l'industrie britannique un accès direct à des technologues hautement qualifiés, avant-gardistes et fraîchement diplômés. »
Cambridge Consultants a été créé dans la période de créativité intense qui faisait suite à la révolution technologique d'Harold Wilson, et est resté à ce jour à la pointe de l'innovation technologique. Bien qu'étant mieux connue comme le moteur de la création de la « Silicon Fen », principal centre de haute technologie en Europe, l'influence de Cambridge Consultants s'étend désormais bien au delà de ses racines.
 
Aujourd'hui, elle fait partie du Groupe Altran, entreprise d'ingénierie internationale forte de plus de 17 000 collaborateurs, présente dans 26 pays et dont le chiffre d'affaires dépasse 1.4 milliard d'euros. En reconnaissance de l'influence internationale de Cambridge Consultants, cette dernière a été récompensée en 2009 par le Queen's Award dans la catégorie « commerce international ».

Avec une part de marché d'environ 60 % en provenance des États-Unis et d'Asie, Cambridge Consultants s'est transformée en une entreprise d'envergure mondiale, développant même plus d'inhalateurs que n'importe quelle entreprise pharmaceutique, ouvrant la voie pour une gestion intelligente de l'énergie et abritant l'une des plus grandes équipes mondiales de développement de la technologie sans-fil.

Le Dr Moon poursuit : « Notre travail actuel consiste à aider nos clients à atteindre un niveau de compétitivité très rapidement à travers l'application de technologies novatrices ou l'application innovante de technologies déjà existantes. Aujourd'hui, ce travail permet à nombre de nos clients de gagner des parts de marché dans une période où l'économie se remet des effets de la récession mondiale. Quel que soit le secteur d'activité de nos clients, des diagnostics médicaux aux télécommunications par satellites, ce travail nécessite que nos équipes regardent vers le futur, et c'est le thème des cérémonies et de notre activité cette année. »

Pour le lancement des cérémonies du 50ème anniversaire de Cambridge Consultants, l'entreprise s'est tournée – comme toujours – vers le futur, en demandant à une classe d'enfants d'une dizaine d'années, de l'école primaire de Milton Road à Cambridge, au Royaume-Uni, de rédiger un article de journal intime d'une journée de l'année 2060, quand ils seront âgés de 60 ans. Nous avons demandé aux enfants de se concentrer plus particulièrement sur le rôle que la technologie pourrait jouer dans leurs vies dans 50 ans.

Parmi les voitures volantes à propulsion nucléaire, les médecins-robots distribuant des médicaments vaporisables et les téléphones à affichage holographique, revenait régulièrement le thème du changement climatique, qui, dans de nombreux articles, n'avait pas encore été résolu.

« Nous avons beaucoup progressé au cours de ces 50 dernières années, et nous pouvons être très fiers de nos réussites", conclut le Dr Moon. « Toutefois, à l'instar des enfants engagés dans cette compétition, je pense que nous avons de grands défis à relever devant nous. Puisque nous cherchons des solutions technologiques à certains des besoins mondiaux les plus urgents, les mots clés devront être efficacité, simplicité et renouvelabilité. Mais une chose est sûre, c'est que le monde ne manque pas de technologie. »
 
Source : Communiqué de presse

18.2.10

MOBILE : Partenariat France - Brésil

- Accédez aux services basés sur votre carte SIM en tapotant ou en secouant votre téléphone mobile

Oberthur Technologies, le deuxième plus grand fournisseur mondial de solutions de cartes à puce, et Vivo, le plus grand fournisseur de services de téléphonie mobile au Brésil et en Amérique du Sud, se sont associés pour offrir une solution SIM sensible au mouvement pour les téléphones mobiles.

SIMSense, une carte SIM capable de détecter les mouvements, fonctionne indépendamment du téléphone et permet un accès simplifié aux applications. En secouant, en tapotant ou en inclinant simplement leur téléphone, les utilisateurs peuvent naviguer ou accéder rapidement à l'application de leur choix. Avec SIMSense, la technologie de détection du mouvement se trouve sur la carte SIM plutôt que sur le téléphone lui-même. Cette solution indépendante du téléphone permet à l'opérateur de promouvoir de nouveaux services interactifs attractifs sur les téléphones actuels des utilisateurs finaux.

« Le partenariat d'Oberthur Technologies avec Vivo et nos nouvelles solutions telles que SIMSense démontrent notre engagement dans le développement d'innovations qui répondent aux besoins des opérateurs mobiles et améliorent en même temps l'expérience des utilisateurs finaux », a déclaré Xavier Drilhon, Directeur général du Département des Systèmes à carte chez Oberthur Technologies. « Nous sommes fiers de nous associer à Vivo pour offrir cette solution unique aux abonnés mobiles de Rio de Janeiro. »

Hilton Mendes, Directeur des innovations et du développement de téléphones chez Vivo, a déclaré : « Dans un environnement mobile concurrentiel, nous sommes en permanence à la recherche de solutions révolutionnaires qui profitent à nos abonnés. Vivo se réjouit d'être le premier opérateur de réseau mobile brésilien à présenter SIMSense à ses abonnés. »

SIMSense - la première carte SIM indépendante sensible aux mouvements a été présentée lors du Congrès Mondial du Mobile 2009 à Barcelone. Moins d'un an après son lancement, SIMSense a été nommée pour le Prix SESAME de l'innovation mobile.

À propos de Vivo

Vivo Participações (NYSE : VIV) fournit des services de télécommunication , de transmission de données des téléphones cellulaires et des services Internet mobiles dans tout le Brésil. Leader du marché brésilien de téléphonie cellulaire, Vivo est la marque d'une coentreprise entre Portugal Telecom et Telefónica, formée en 2002. Couvrant plus de 3500 municipalités, la société possède le plus grand réseau du pays et est également le plus grand groupe de téléphonie de l'Hémisphère Sud.

L'objectif principal de Vivo est d'offrir des services plus nombreux et de meilleure qualité pour que les abonnés puissent se connecter eux-mêmes - quand ils le souhaitent, de la façon dont ils le souhaitent, d'où ils le souhaitent, et toujours plus. Par conséquent, elle stimule la société des réseaux, qui offre aux gens de nombreuses opportunités de développer le progrès et de mieux vivre. Ainsi, Vivo alimente un cycle vertueux qui se reflète dans le développement autonome de ses propres activités.

Le but de Vivo est de renforcer son leadership en maintenant une croissance durable et en suivant une stratégie de rentabilité accrue. La société cherché à mettre en ?uvre une telle stratégie à partir de la croissance sélective de sa base de clients, le développement de nouveaux services et en tirant profit des opportunités de croissance. Vivo profite aussi des avantages concurrentiels offerts par sa large base de clients, ses marques reconnues et son équipe de cadres talentueux.

Contact de Presse, Vivo : http://www.vivo.com.br/imprensa 

à propos d'Oberthur Technologies

Avec un chiffre d'affaires de 882 millions d'euros en 2008, Oberthur Technologies est l'un des leaders mondiaux des technologies de sécurité.

Son innovation et la haute qualité de ses services lui ont permis d'obtenir une position solide sur ses principaux marchés :

- Systèmes à carte : l'un des plus grands fournisseurs mondiaux de sécurité et d'identification par carte à puce et de services associés pour les marché du mobile, du paiement, du transport, de la télévision numérique et de la convergence.

- Identité : leader international de la fabrication et la personnalisation de documents d'identités sécurisés tels que les passeport, les cartes d'identité, les permis de conduire, les cartes santé - traditionnels ou électroniques - et la fourniture de services associés, à l'intention tant des administrations publiques que du secteur privé.

- Impression fiduciaire : troisième imprimeur fiduciaire mondial privé, spécialisé dans la fabrication et la gestion de billets de banques, de chèques et d'autres documents fiduciaires dans plus de cinquante pays.

- Protection de la trésorerie : leader mondial sur le marché naissant des équipements intelligents pour la protection des billets de banques lors de leur transport et dans les distributeurs automatiques.

Proche de ses clients, Oberthur Technologies bénéficie d'une présence industrielle et commerciale sur les cinq continents.

Oberthur Technologies S.A. est une société anonyme enregistrée en France et dont le siège social est situé à l'adresse : 50 quai Michelet, 92 532 Levallois Perret, France. Oberthur Technologies S.A. est immatriculée au Registre du commerce et des sociétés de Paris (R.C.S.) sous le n° 340 709 534.

 

La créativité bon marché des émergents profite aux multinationales occidentales

L'innovation n'est plus l'apanage des pays développés. La créativité des chercheurs et des ingénieurs des pays émergents est désormais mise à contribution pour concevoir des produits mondiaux. Une nouvelle étape est ainsi franchie dans la mondialisation de la recherche.

Un site Internet, www.indovations.net, vient ainsi d'être créé pour promouvoir les innovations indiennes et créer des liens entre innovateurs indiens et entreprises occidentales. Son concepteur, Navi Radjou, est le directeur du centre d'études sur l'Inde de la Judge Business School, de l'université de Cambridge, en Angleterre.

Il montre comment les multinationales ne se contentent plus seulement, comme ce fut le cas à partir des années 1990, d'utiliser la main-d'oeuvre locale qualifiée et bon marché pour sous-traiter en Inde des développements, informatiques en particulier. Ni seulement d'ouvrir des centres de recherche dans les pays émergents pour y adapter les produits et services aux goûts, aux normes et aux niveaux de vie des populations locales.

Désormais, c'est l'inverse qui se produit. Car le savoir-faire, la créativité des chercheurs indiens, éduqués dans un contexte de frugalité, et non d'abondance à l'occidentale, s'avèrent particulièrement adaptés au développement de produits et de services pour l'époque actuelle, où la récession, d'une part, et la quête de développement durable, d'autre part, imposent de "faire plus avec moins, pour plus de monde", synthétise Navi Radjou. "Si la nécessité est la mère de l'invention, la rareté en est la grand-mère", ajoute-t-il. "Quand j'étais enfant, à Pondichéry, l'eau était rationnée. On n'en avait qu'à certaines heures. Ce contexte, marqué par la rareté, la pénurie, amène à penser et à innover naturellement en faveur de l'économie et du développement durable", explique M. Radjou.

General Electric (GE) est l'une des premières sociétés à avoir tiré partie de ce savoir-faire. Son électrocardiographe Mac 400, conçu pour les habitants de villages indiens reculés, et son appareil d'imagerie à ultrasons, développé pour la Chine rurale, sont maintenant commercialisés aux Etats-Unis, pour de nouveaux usages, explique le PDG de GE, Jeffrey Immelt, dans un article de la Harvard Business Review, cosigné par deux enseignants de la Tuck School of Business de Dartmouth (Etats-Unis).

L'appareil à ultrasons, dont le coût était six fois inférieur à celui d'un appareil sophistiqué lors de son lancement en 2007, est maintenant utilisé aux Etats-Unis pour des applications auxquelles GE n'avait pas pensé avant. Pour examiner des blessés sur les lieux même d'un accident, par exemple, grâce à sa maniabilité et à sa portabilité. Cette ligne de produits croissait de 50 % à 60 % par an avant la crise. Alors qu'auparavant "GE tirait l'essentiel de ses profits de la commercialisation d'appareils de pointe, comme les tomographes ou les appareils d'imagerie à résonance magnétique (IRM). Mais dans un contexte d'élargissement du système de soins (aux Etats-Unis) et de taux de remboursement en baisse, nous allons devoir augmenter de 50 % le nombre de produits bon marché que nous vendons, ajoutent les auteurs. Si nous ne le faisons pas, nos nouveaux concurrents des pays émergents le feront."

Le constructeur de voitures électriques indien Reva le prouve. Il a non seulement innové technologiquement, en développant une nouvelle batterie lithium-ion, mais aussi commercialement, estime M. Nadjou, en développant des franchises, en licenciant sa technologie.

Renault n'est pas resté les bras croisés. Le constructeur automobile s'appuie sur ses six centres de design répartis dans le monde pour concevoir ses nouveaux véhicules. Le studio de Bombay aurait remporté le concours interne pour la conception d'une voiture très bon marché, qui sera commercialisée en Inde en 2011, et peut-être, ultérieurement, dans le reste du monde, sous la marque Nissan, révèle le New York Times. A Paris, Patrick Lecharpy, directeur du design avancé de Renault, n'est guère prolixe sur ce sujet confidentiel.

En revanche, il explique qu'à plus court terme, le studio indien développe "une banquette trois places, transformable en deux places, pour transporter la famille le week-end, et le cadre indien, conduit par son chauffeur, durant la semaine. Cette modularité intérieure pourrait être reprise ailleurs, pour d'autres usages", raconte M. Lecharpy. L'équipe indienne "participe également activement à la couleur-matière, c'est-à-dire à la définition et à la mise au point de couleurs pour les textiles, les peintures, les cuirs, les moquettes des voitures, au niveau mondial". Le constructeur français tire parti "de l'incroyable variété et capacité d'élaboration des textiles en Inde".

Plus près de nous, c'est aux concepteurs roumains de Renault que l'on devra "le coffre superpratique qui sera exploité sur la prochaine génération de véhicules". Initialement, il devait permettre de hisser facilement dans le coffre les bidons de choux que les Roumains vont chercher à la campagne et rapportent en ville pour nourrir leur famille.

Source : http://www.lemonde.fr/economie/article/2010/02/16/la-creativite-bon-marche-des-emergents-profite-aux-multinationales-occidentales_1306706_3234.html

13.2.10

Le Brésil ou quand les BRIC’s se mettent aussi à l’intelligence stratégique

Voici quatre ans, les géologues brésiliens découvraient, dans les profondeurs de l'Atlantique, le plus grand gisement d'or noir exhumé depuis très longtemps.

Le champ sous-marin de Campos, au large de Rio de Janeiro, fera bientôt du Brésil l'un des plus importants exportateurs de pétrole de la planète. Le pays boxera dans la même catégorie que le Canada ou le Nigeria. Petrobras, la compagnie nationale brésilienne, qui exploitera la zone, a fait l'objet d'un rally boursier peu commun. Valorisée à 220 milliards de dollars, le groupe figure désormais dans le top dix des plus grandes capitalisations boursières du monde.

Convoitise, curiosité et espionnage

Petrobras est l'un de ces acteurs venus des BRIC (le quatuor formé de la Chine, du Brésil, de l'Inde et de la Russie) qui pourrait battre la mesure de l'économie mondiale au cours de la prochaine décennie.

Tant de puissance émergente suscite bien sûr la convoitise. Les BRIC sont à leur tour la cible des barbouzes de l'espionnage industriel. Début 2008, une affaire de vol de données stratégiques a défrayé la chronique à Sao Paulo, Rio de Janeiro et Recife.  Les informations stockées dans des ordinateurs portables revenant des champs d'exploration offshore ont été dérobées au port. Très vite, les autorités brésiliennes ont soupçonné la firme américain Halliburton (une vieille connaissance de l'ancien vice-président Dick cheney) responsable du transport des données. Finalement, les coupables étaient ailleurs. Mais l'épisode a éveillé les consciences au Brésil sur la nécessité de protéger ce capital national.

Les multinationales du Brésil à l'heure de l'intelligence stratégique

Le constat ne vaut pas que pour Petrobras. Les multinationales brésiliennes sont chaque année plus nombreuses dans le palmarès des plus grandes entreprises du globe.

Vale, Embraer, Votorantim ou le belgo-brésilien AB Inbev, dévoreur de Budweiser, la plus célèbre marque de bière aux Etats-Unis, gagnent des parts de marché en Europe, en Asie ou en Amérique du Nord, dans des secteurs divers (aéronautique, agro-alimentaire, industrie,…)
La modernisation de l'économie brésilienne appelle donc logiquement la même phase de professionnalisation des pratiques de gestion qu'en Europe ou en Amérique du Nord. Cette étape passe notamment par l'apprentissage de nouvelles pratiques de réseau et d'intelligence stratégique.

Comme l'indique la présentation reprise ci-dessous, les universités brésiliennes mettent en place de nouveaux cursus d'apprentissage pour les managers locaux.  Au menu de ces dernières : optimiser les investissements en R&D; accroître la valeur ajoutée des produits de base; encore créer des ressources globales d'information pour pousser les entreprises brésiliennes à s'étendre mondialement, etc…

Source : http://entrepriseglobale.blogactiv.eu/2010/02/01/le-bresil-ou-quand-les-bric%E2%80%99s-se-mettent-aussi-a-l%E2%80%99intelligence-strategique/

Ubifrance propose aux start-up françaises une tournée dans la Silicon Valley

Pour la quatrième année consécutive, la mission économique d'Ubifrance à San Francisco organise son French Tech Tour, une tournée dans la Silicon Valley destinée aux start-up et aux PME spécialisées dans les nouvelles technologies. Objectif : aider les entreprises françaises à mettre au point une stratégie d'implantation aux Etats-Unis.

L'agence française pour le développement international des entreprises leur propose de rencontrer pendant une semaine, du 4 au 11 juin, des partenaires et des clients potentiels en Californie, mais aussi de participer à des séances de préparation et à des ateliers de travail sur la propriété industrielle, les levées de fonds ou les aspects juridiques d'une implantation aux Etats-Unis. Durant cette semaine, les entreprises sélectionnées seront mises en contact avec des consultants, des investisseurs, des journalistes et des représentants de grandes entreprises de la Silicon Valley.

Cette année, 15 groupes américains sont partenaires de l'opération, dont Apple, Microsoft, ATT, Cisco, Intel, Verizon ou eBay. Les start-up et PME intéressées ont jusqu'au 1 er mars pour s'inscrire sur le site du French Tech Tour (www.frenchtechtour.com).  L'inscription, payante (200 euros), permet aux candidats de se faire connaître des entreprises partenaires. Ce sont elles qui choisiront, sur dossier, les 15 sociétés retenues pour participer à la tournée californienne (facturée 2.800 euros).

Selon la mission d'Ubifrance à San Francisco, 6 des 16 start-up françaises retenues lors du French Tech Tour 2009 se sont depuis implantées aux Etats-Unis.

Source : http://www.lesechos.fr/info/france/020357025757-ubifrance-propose-aux-start-up-francaises-une-tournee-dans-la-silicon-valley.htm

10.2.10

Partenariat international : VEGEPOLYS - EUROCHILE

Reconnu à l'international pour son expertise en matière d'innovation, d'intelligence économique et son aptitude à faire émerger des projets de recherche collaboratifs intéressant de nombreux pays, VEGEPOLYS vient de signer, avec l'appui de l'ONUDI, un partenariat de coopération avec EuroChile, groupement d'entreprises chiliennes du secteur du végétal souhaitant développer des relations économiques et technologiques avec l'Europe. Cette convention porte sur le transfert d'expérience pour la création d'un pôle de compétitivité au Chili et sur l'initiation de partenariats technologiques ou commerciaux entre entreprises européennes et chiliennes qui développent de nombreuses filières végétales communes, mais en saisons inversées.

Labellisé « pôle de compétitivité à vocation mondiale » en 2005, VEGEPOLYS a démontré sa capacité à rassembler et à fédérer chercheurs et entreprises pour faire éclore des projets innovants répondant à diverses attentes sociétales de nombreux pays : créations de variétés de genêts dédiées à l'export, carottes résistantes aux bio-agresseurs permettant de conforter le leadership à l'international des producteurs français de carottes et de semences, valorisation des propriétés antioxydantes des plantes ralentissant le vieillissement des cellules, vraisemblablement le seul projet au monde à ce jour explorant ce domaine, etc.

Ce savoir-faire désormais reconnu aux quatre coins du monde notamment via les entreprises porteuses de projets de dimension internationale telle que Vilmorin, Syngenta, Davodeau Ligonnière, Enza Zaden, Turc, Minier,…, attire également des entreprises étrangères telles que le semencier australien MK Seeds implanté depuis deux ans en Anjou. Pour renforcer cette reconnaissance à l'international, le pôle de compétitivité accompagne aussi les entreprises adhérentes sur de nouveaux marchés lors de missions ou de salons à l'étranger et organise des évènements internationaux tels que le « Plant International Meeting », rencontre de décideurs et de chercheurs ou des colloques scientifiques rassemblant des chercheurs du monde entier tels que « ISA fruit » ou « In Vino Analytica Scientia ».

Dans le cadre de ses missions à l'International, VEGEPOLYS a développé des relations avec EuroChile, groupement d'entreprises chiliennes liées au végétal souhaitant développer des relations économiques et technologiques avec l'Europe. Zone identifiée comme prioritaire par l'ONUDI (organisme de coopération industrielle entre les entreprises françaises et les pays en développement ou en transition), outre un potentiel commercial, le Chili a également pour atout de développer des filières communes avec celles de VEGEPOLYS et de disposer de saisons inversées. Le Chili menant en ce moment une politique de constitution de pôles de compétitivité, EuroChile s'est montré particulièrement intéressé par une « formation » à la gouvernance, à l'émergence de projets et à l'intelligence économique dispensée par VEGEPOLYS pour accompagner la création d'un pôle de compétitivité chilien du végétal.

Cette collaboration formalisée par une convention de partenariat et de coopération a été signée à Angers le 4 février 2010 par Bruno de Laage, président de VEGEPOLYS et Vincente Caruz, président de EuroChile, accompagné de José Carlos Aravena Navarrete, directeur d'EuroChile, et Gino Boismorin, directeur de VEGEPOLYS. Elle entre également dans la dynamique initiée avec le PEIFL, pôle européen d'innovation dans les fruits et légumes situé à Avignon, avec lequel VEGEPOLYS entretient un partenariat de coopération : le PEIFL s'apprête à signer une convention similaire avec EuroChile dans les semaines à venir afin que VEGEPOLYS et le PEIFL mènent des actions concertées au Chili.

L'objectif de cette convention est de favoriser une coopération internationale entre les entreprises portées par EuroChile et les entreprises adhérentes de VEGEPOLYS :

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favoriser le transfert d'expérience pour le développement de pôles de compétitivité au Chili,

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.identifier conjointement les activités facilitant l'internationalisation d'entreprises et d'institutions

membres de VEGEPOLYS et de EuroChile,

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partager les expériences sur les méthodes de travail en matière d'Intelligence Economique,

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exploiter l'articulation de projets conjoints d'innovation à présenter à l'occasion du 7ème

Programme-cadre de l'UE qui finance certains projets innovants,

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soutenir le développement commercial entre les entreprises des deux pays, et plus

particulièrement des PME, en organisant des rencontres, des réunions de travail, des visites, etc.

A propos d'EuroChile

EuroChile est une organisation privée à but(s) non lucratif(s), constituée par l'Union Européenne et l'Etat Chilien afin de créer, promouvoir et développer les relations économiques, commerciales et technologiques entre les chefs d'entreprises et les institutions de l'Union Européenne et du Chili. Son action repose sur trois activités à savoir le soutien aux affaires avec l'Europe (présentations, missions, recherche de partenaires, etc.), le transfert de technologie et de savoir-faire, et le développement de projets d'intérêt public à moyen terme, cherchant à améliorer les conditions de marché et/ou d'environnement, afin de permettre l'innovation et le développement technologique. EuroChile est membre du réseau Entreprise Europe Network (EEN).

A propos de VEGEPOLYS

Avec ses 8 filières (l'horticulture ornementale, le maraîchage, les semences, l'arboriculture, la viticulture, les plantes médicinales, les champignons, le cidre et le tabac), VEGEPOLYS, pôle de compétitivité à vocation mondiale, confirme depuis 2005 une position de leader en Europe par sa capacité et son expertise en production, la présence de toutes les filières du végétal spécialisé et d'un pôle de formation et de recherche de très haut niveau. Ce sont également de nombreux programmes de recherche et notamment 69 projets labélisés représentant des investissements de 35 millions d'euros dans des projets coopératifs. Sur ce territoire, 4000 entreprises se développent, représentant aujourd'hui plus de 25000 emplois, 420 chercheurs ou enseignants chercheurs et 2500 étudiants issus de 25 programmes de formation y font naître de nouvelles technologies de production. Mise en réseau des entreprises, recherche et formation, VEGEPOLYS joue un rôle central en facilitant les échanges, en favorisant l'ouverture internationale, en augmentant la compétitivité et en mutualisant les moyens pour innover plus vite, plus fort.

www.vegepolys.eu

www.eurochile.cl

Source : ONUDI Paris

1.2.10

7ème rencontre du groupe pilote sur les financements innovants pour le développement (Santiago du Chili, 28 et 29 janvier 2010)

Le Groupe pilote sur les financements innovants pour le développement actuellement présidé par le Chili, a tenu sa septième session plénière les 28 et 29 janvier à Santiago du Chili.

Principale enceinte internationale consacrée aux financements innovants, le Groupe pilote a rassemblé une centaine de participants : les 59 pays membres, les principales organisations internationales et ONG, ainsi que des représentants du secteur privé, des fondations et des centres de recherche.

Depuis sa création en 2006, le Groupe pilote a investi plusieurs problématiques : l'innovation financière au service du développement, le financement de la lutte contre le changement climatique au profit des pays les plus pauvres, la lutte contre l'évasion fiscale, les transactions financières internationales et les contributions volontaires de solidarité.

Cette nouvelle rencontre a permeis de préciser toutes les options de financement international et de déterminer les secteurs pour lesquels il est indispensable. La précédente réunion du Groupe, alors sous présidence française, s'était tenue à Paris en mai 2009.

Lors de cette réunion, Bernard Kouchner avait proposé de réfléchir à une contribution pour le développement fondée sur les transactions financières internationales. Depuis, cette proposition a progressé au sein des enceintes internationales, notamment l'Union européenne et les Nations unies.

En octobre 2009, lors de la première réunion ministérielle sur les transactions financières pour le développement, le ministre a présenté son projet de contribution de solidarité internationale d'un montant de 0,005 % sur les transactions financières aux ministres de 12 pays pionniers : Allemagne, Autriche, Belgique, Brésil, Chili, Espagne, France, Italie, Japon, Norvège, Royaume-Uni et Sénégal qui ont décidé la création d'un groupe de travail sur ce thème dans une déclaration conjointe. Ce Groupe de travail des douze pays signataires présentera ses recommandations dès le mois de mai prochain.

Dans le contexte actuel de crise économique, la France estime que les financements innovants sont nécessaires pour dégager des ressources supplémentaires pour le développement.

A l'occasion de cette réunion de Santiago, la France a joué un rôle actif pour faire avancer les travaux du Groupe pilote.

http://www.leadinggroup.org/rubrique1.html

Source : http://www.diplomatie.gouv.fr/fr/actions-france_830/aide-au-developpement_1060/evenements_19763/7eme-rencontre-du-groupe-pilote-sur-les-financements-innovants-pour-developpement-28-29.01.10_79378.html