27.11.07

Pour innover, la présence des médias est nécessaire

David Nordfors, le père du "Journalisme d'Innovation", est en Euskadi et livre à eitb24.com sa vision de l'innovation et le rôle du journalisme.
David Nordfors, le père du "Journalisme d'Innovation", est en Euskadi et livre à eitb24.com sa vision de l'innovation et le rôle du journalisme.

Quand il y a vingt ans David Nordfors a quitté la Suède pour rejoindre Standford (Californie), il décida de visiter la page web de la prestigieuse université.

A la bibliothèque de son village, il y a avait seulement trois ordinateurs avec un accès à Internet. Un pour les adultes et deux pour les enfants. Pour ce qui était du premier, il n'avait pas l'autorisation de l'utiliser et pour les deux autres il était encore trop jeune. Pour lui, Internet était le futur alors que maintenant il s'agit bel et bien du présent.

Nordfors est professeur au Standford Centre for Innovation in learning. En 2003 le terme « Journalisme d'innovation » a vu le jour et aujourd'hui il dirige un programme sur cette thématique à l'université qui apporte la majeure partie du capital humain de la Silicon Valley.

De quoi s'agit-il ?

David Nordfors explique que "le journalisme d'innovation" est la combinaison du journalisme économique, technologique, politique et culturel, qui offre la possibilité de se rapprocher de l'innovation depuis un point de vue différent. C'est un concept nouveau et une valeur communautaire nouvelle.

Nordfors a également déclaré à eitb24.com que "pour que l'innovation fasse partie de la société, il est indispensable que les médias parlent d'elle". Il affirme de plus, qu'innover est introduire quelque chose de nouveau dans n'importe quel domaine, cette introduction a besoin de communication et la communication requiert une sorte de langage. Une nouveauté nécessite un langage nouveau pour être diffusée. Et justement c'est le travail journalistique: les médias répandent ce nouveau langage et permettent susciter la connaissance et la discussion. Il ne s'agit pas seulement d'intéresser le public en général à l'innovation mais de créer un lien pour la création d'un réseau, une communauté d'innovateurs.

source: http://www.eitb24.com/article/fr/B24_76274/science-technologies/ENTRETIEN-Pour-innover-presence-des-medias-est-necessaire/

Procter & Gamble inaugure son nouveau centre d'innovation

Procter & Gamble a inauguré n son nouveau «Lancy Innovation Center», en présence de la Présidente de la Confédération Micheline Calmy Rey. Cet immeuble, second bâtiment de P&G en ville de Lancy, d'une capacité de 850 places de travail, est dédié à l'innovation et à la créativité.

Une salle consacrée à la recherche consommateurs permettra de travailler notamment sur les marques phares comme Pampers®, Ariel®, Dash®, Always®, Mr. Propre®, Pantene®, Head & Shoulders®, Mach3®, Pringles®, Iams®, Oral-B®, Duracell®, Wella, Gillette® ou encore Braun.

En direct et par visioconférence, les 138 000 employés de P&G répartis dans 80 pays ont pu suivre plus d'une heure et demie de discussions. Avec quelque 3,5 milliards de clients dans le monde, le groupe a fait de la différence un mode de management essentiel. Présent depuis 51 ans à Genève, l'entreprise y occupe quelque 2 350 collaborateurs. Elle se positionne comme le troisième employeur du canton.

source: http://www.tdg.ch/pages/home/tribune_de_geneve/l_actu/geneve/detail_geneve/(contenu)/163993



17.11.07

Forum européen sur l'éco-innovation

Le forum européen sur l'éco-innovation se tiendra à Paris, en France, les 26 et 27 novembre.

Le forum rassemblera des perspectives commerciales et politiques à travers une série d'évènements uniques qui exploreront les orientations stratégiques en termes d'éco-innovation et de technologies environnementales à l'appui du plan d'action en faveur des écotechnologies (PAET) de l'UE.

Cette année, l'évènement sera consacré au rôle de l'Environment Performance Verification (EPV, la vérification de l'éco-performance) dans l'adoption du marché des écotechnologies. Les systèmes EPV fournissent une vérification préalable de la performance revendiquée des écotechnologies. L'objectif consiste à renforcer la confiance des investisseurs et des acheteurs potentiels dans les écotechnologies innovantes et par conséquent à faciliter leur commercialisation.

Les recommandations du forum constitueront des propositions pertinentes et opportunes pour la préparation du projet EPV de l'UE. Elles aideront également les parties prenantes à préparer le futur projet et à en tirer parti au maximum.

source: http://cordis.europa.eu/fetch?CALLER=FR_NEWS&ACTION=D&SESSION=&RCN=28685

http://ec.europa.eu/environment/ecoinnovation2007/2nd_forum/index_en.htm

13.11.07

Yvelines : lancement du Fonds Eco-Départemental Environnement et Innovation

Le Conseil général des Yvelines lance le 1er appel à projets pour les candidats au Fonds éco-départemental environnement et innovation (FEDEI) et avec lui l'installation officielle de ce nouveau dispositif, a annoncé un communiqué le 8 novembre. Adopté le 25 mai dernier par le Conseil général, le FEDEI vise à soutenir des innovations s'inscrivant dans une démarche de développement durable. Il s'inscrit comme un dispositif complémentaire aux aides habituelles du Conseil général dans les domaines de l'environnement, de l'économie, de l'aménagement et du social.

L'appel à projets est ouvert sur toute l'année 2008. Il sera renouvelé en 2009 et 2010. Le FEDEI s'adresse aux collectivités locales yvelinoises et à leurs groupements en priorité, aux établissements publics ayant compétence sur le territoire yvelinois (collectivités, organismes publics, collèges, lycées, …), et aussi aux entreprises. Selon le communiqué, les projets devront favoriser les innovations en matière de développement durable, en particulier pour la protection de l'environnement et avoir la capacité à être généralisés. Ils devront en outre présenter une approche pertinente, appuyée sur une démarche de projet permettant l'évaluation.
Les demandes sont examinées par un comité spécifique composé de neuf membres parmi des élus départementaux et des personnalités qualifiées. Le comité FEDEI se réunira 3 fois en 2008 : en janvier, en mai, et en octobre pour examiner les projets candidat au FEDEI. Il remettra ensuite son avis au Conseil général qui délibérera pour l'attribution des subventions. Le fonds sera alimenté par le Département à hauteur de 10 M€ pour une période initiale de trois ans. Cette somme devrait permettre de soutenir chaque année environ 30 à 40 opérations, précise le Conseil général des Yvelines.

source: http://www.actu-environnement.com/ae/news/conseil_general_yvelines_lancement_fonds_eco_departemental_environnement_innovation_3844.php4

12.11.07

Le Brésil, un pays qui innove

Le Brésil possède l'infrastructure de S-T et le système d'innovation les plus perfectionnés et les plus diversifiés d'Amérique latine. Le gouvernement est d'ailleurs résolu à faire du pays une économie du savoir. Le Brésil est l'unique pays de l'hémisphère austral à avoir mis en œuvre un programme de développement de la technologie spatiale qui comprend des satellites, et des véhicules et des plateformes de lancement. Des sociétés brésiliennes, comme Petrobras (forage pétrolier en eaux profondes) et Embraer (avions de transport régionaux à réaction), sont reconnues dans le monde entier pour leurs remarquables qualités technologiques et leur place de chef de file de leurs secteurs respectifs. Embrapa effectue des recherches innovantes en biotechnologie, et le Brésil lui doit sa réussite dans le secteur des industries agricoles. Le Brésil a également accru sa compétitivité dans d'autres secteurs importants, tels que la nanotechnologie, les logiciels, les produits pharmaceutiques, les biocarburants, et les technologies de l'information et des télécommunications.

Structure du secteur brésilien de la S-T

Le gouvernement fédéral, par le biais du ministère de la Science et de la Technologie (MST), joue un rôle déterminant dans la réglementation, la facilitation, la réalisation et le financement de la recherche-développement (R-D) au Brésil. Outre le MST, le président de la république reçoit les avis d'un conseil national de la S-T (CCT) composé de ministres et de représentants du monde scientifique. Le MST travaille en collaboration avec d'autres institutions fédérales, telles que le conseil national pour le développement scientifique et technologique (CNPq), l'agence spatiale brésilienne (AEB), le Finep (organisme de financement) et un certain nombre d'universités fédérales, de centres de recherche et de laboratoires.

Le gouvernement fédéral assure 40 % des dépenses totales de R-D du Brésil; les États y investissent 23 % et le secteur privé 37 % environ. Les ministères se divisent le budget fédéral de R-D : 47 % pour le MST; 21 % pour le ministère de l'Éducation; 19 % pour le ministère de l'Agriculture, 4 % pour le ministère du Développement, de l'Industrie et du Commerce international, 3 % pour le ministère de la Santé, 2 % pour le ministère de l'Environnement et 4 % pour les autres ministères.

Les États du Sud-Est du pays réalisent 73,9 % des dépenses totales de R-D des États, suivis de la région du Sud (14 %) et de la région du Nord-Est (8,6 %).

Indicateurs scientifiques et technologiques

Le Brésil dépense plus de 1 % de son PIB en R-D. Ce pourcentage est inférieur à la moyenne que les pays membres de l'OCDE consacrent à la R-D, mais il est toutefois le plus élevé d'Amérique latine; le président Lula est d'ailleurs résolu à l'augmenter pour qu'il atteigne 2 % du PIB d'ici la fin de son mandat en 2006. Le Brésil essaye également d'encourager la participation accrue du secteur privé dans la R-D, qui réalise à l'heure actuelle 37 % des investissements totaux en R-D. Il existe près de 300 instituts de recherche au Brésil, qui emploient environ 60 000 chercheurs à temps plein. Chaque année, environ 8 000 étudiants obtiennent un diplôme de troisième cycle, dont 69 % en sciences et en génie. En 2002, 11 285 articles sont parus dans des publications scientifiques internationales, soit 44 % de l'ensemble des articles publiés en Amérique latine. L'année dernière, 21 742 demandes de brevets ont été présentées à l'institut national de la propriété intellectuelle (INPI). Chaque année, le gouvernement fédéral accorde son soutien à plus de 32 000 étudiants (maîtrise et doctorat) par l'intermédiaire des programmes CNPq (MST) et Capes (ministère de l'Éducation).

Stratégie d'innovation

Ces dernières années, le Brésil a réalisé des efforts considérables pour mettre au point un système d'innovation homogène qui optimise les efforts concertés du secteur public et du secteur privé (instituts de recherche, entreprises et universités). L'une des réalisations les plus importantes à ce chapitre est la loi sur l'innovation, qui est récemment entrée en vigueur. Cette loi encourage la R-D dans le secteur privé et favorise l'établissement de partenariats entre des instituts/industries publics et privés, permettant de combler l'écart considérable entre la capacité de générer des connaissances des universités et l'aptitude à les traduire en savoir-faire et à mettre les avancées technologiques sur le marché. En marge de la loi sur l'innovation, le gouvernement a également approuvé un programme d'incitatif fiscal pour le développement de la R-D en entreprise.

Les obstacles à l'innovation au Brésil

Le Brésil applique des démarches scientifiques rigoureuses et consacre des ressources considérables à son système d'innovation; pourtant, les ressources engagées semblent donner peu de résultats. Le nombre de brevets internationaux déposés par le Brésil (WIPO - 2005) est très inférieur à celui d'autres marchés émergents qui investissent autant que le Brésil dans la R-D. En 2004, la Chine a obtenu 1 705 brevets, l'Inde 689 et le Brésil 278 seulement (0,23 % des brevets mondiaux). Au nombre des facteurs qui pourraient expliquer ces résultats, mentionnons que la recherche effectuée au Brésil est peut-être moins brevetable que celle entreprise par exemple en Inde (recherche intensive sur les produits pharmaceutiques et les logiciels) ou en Corée (électronique); ces deux pays se concentrent plutôt, en effet, sur des secteurs où beaucoup de brevets sont délivrés. En matière de production de littérature scientifique (publications internationales), le Brésil réalise 1,6 % de la production mondiale, une part bien plus importante que celle qu'elle enregistre en matière de brevets.

La « faible productivité » du système d'innovation du Brésil peut peut-être également s'expliquer par la composition des dépenses de R-D, en particulier par l'engagement relativement limité du secteur privé. Par exemple, en 2004, sur 147 000 chercheurs recensés sur le marché du travail, seuls 26 460 (18 %) étaient employés dans des entreprises.

Le gouvernement brésilien, au moyen de la loi sur l'innovation, s'attaque à ces problèmes en encourageant la participation accrue du secteur privé aux activités de R-D. Il a notamment institué des programmes d'incitation fiscale destinés à améliorer les mécanismes de financement, à soutenir les petites et moyennes entreprises, à moderniser les institutions, etc. À moyen terme, ces programmes devraient avoir un impact sur la capacité d'innovation du Brésil.

source: http://www.infoexport.gc.ca/science/brazil_home-fr.htm

L'économie américaine reprend la tête du classement mondial

Grâce à la capacité d'innovation des entreprises américaines et à l'efficacité de son marché, l'économie des États-Unis a retrouvé son premier rang mondial au plan de la compétitivité, devant la Suisse, le Danemark, la suède et l'Allemagne , après s'être classée sixième en 2006.

Selon le rapport publié par le Forum Economique Mondial ( WEF), un groupe international de réflexion et de recherche, l'économie des Etats-Unis a repris la tête du classement mondial sur la compétitivité dans le monde .

« L'efficacité des marchés des États-Unis, la sophistication de leurs milieux d'affaires, l'impressionnante capacité d'innovation technique qui existe au sein de leur excellent système d'universités et de centres de recherche, toutes ces qualités contribuent à faire des États-Unis une économie hautement compétitive », a déclaré l'économiste Xavier Sala-i-Martin, coauteur du rapport.

Toutefois une inquiétude vis à vis de certains déséquilibres macroéconomiques aux États-Unis, ressort dans ce même rapport, notamment le déficit des transactions courantes et la faiblesse de certains secteurs d'activité, qui « risquent de porter atteinte au potentiel de compétitivité globale du pays ».

Cette édition 2007 a classé 131 pays selon la qualité de leurs institutions, leur infrastructure, leur stabilité macroéconomique, leur système de santé, leur enseignement primaire, secondaire et supérieur, leurs établissements de formation, l'efficacité de leur marché industriel et de leur main-d'œuvre, la compétence de leur marché financier, leur développement technique, la taille de leur marché et le degré de sophistication et d'innovation de leurs milieux d'affaires.

Les États-Unis ont marqué d'excellents points en matière d'innovation, d'efficacité de la main-d'œuvre, d'enseignement supérieur et de formation. Ce classement se fondait sur des données accessibles au public et sur une enquête réalisée auprès de plus de 11.000 dirigeants d'entreprises de par le monde. Selon cette enquête, les charges et la réglementation fiscales représentaient les domaines les plus problématiques de l'économie.

M. Michael Porter, lui aussi économiste et coauteur du rapport, pense que ce classement aide les pouvoirs publics à cerner les secteurs qui méritent une attention plus soutenue et leur fournit la motivation nécessaire à des réformes.

L'ensemble des économistes attribut la capacité de rebondissement dont l'économie des États-Unis a fait preuve à sa grande capacité concurrentielle et en particulier à l'ouverture et à la souplesse de ses places financières.

Le mois dernier, le ministre des Finances des Etats-Unis, M. Henry Paulson, s'est déclaré convaincu que, grâce à ces qualités, l'économie serait capable de surmonter la nouvelle crise qui se développait dans le secteur du logement et du marché hypothécaire.

De son côté, le président du Comité des conseillers économiques du président Bush, M. Edward Lazear, a qualifié ce résultat de « tout à fait remarquable » compte tenu de la crise du logement qui avait déjà commencé à peser sur l'économie durant ce trimestre.

source: http://www.intelink.info/fre/actualites/economie/0711111949_l_economie_americaine_reprend_la_tete_du_classement_mondial

2.11.07

Algo Novo Sob o Sol - Relatório Especial de Inovação

Nesta resenha, apresentamos as principais idéias do Relatório Especial do The Economist, publicado em 11 de outubro deste ano, sob a ótica do Brasil.

- Baixe e leia a resenha aqui (formato PDF)

- Leia o texto original do The Economist (em inglês)

source / fonte: http://www.institutoinovacao.com.br

A necessidade de dinamizar a inovação na indústria paulista.

O Departamento de Competitividade e Tecnologia – DECOMTEC da FIESP, realizou no mês de maio de 2007, uma Sondagem junto a empresas do Estado de São Paulo, de variados portes e setores industriais, para delimitar as principais necessidades no que diz respeito às atividades de inovação. ver texto completo

souce: http://www.institutoinovacao.com.br

1.11.07

Missão empresarial do CNI irá à feira de tecnologias limpas em Paris

A Rede Brasileira de Centros Internacionais de Negócios (Rede CIN), da Confederação Nacional da Indústria (CNI), promove uma missão empresarial a Paris, entre 24 de novembro e 1º de dezembro. Os empresários visitarão a Pollutec Horizons 2007, maior feira do mundo de produtos e serviços para proteção do ambiente.

Neste ano o foco do evento será a inovação tecnológica, com destaque para seminários sobre fontes de energia renováveis, mudanças do clima, controle da poluição, transporte urbano, desenvolvimento sustentável, saúde e comércio justo.

A Pollutec Horizons é uma oportunidade para investidores e empresários nacionais e internacionais que desejam ampliar contatos com empresas do setor, fazer negócios e expandir sua rede de relacionamentos comerciais. A expectativa da feira é receber 40 mil visitantes e 1,5 mil expositores de 32 países. A previsão é de que 30 empresas brasileiras sejam representadas no evento.

As empresas participantes do evento terão suas informações divulgadas no catálogo oficial da Pollutec e participarão de palestras e seminários dirigidos a empresas estrangeiras sobre o tema Meio Ambiente no Brasil. Os empresários vão participar de visitas técnicas ao Pólo de Competitividade Industrial, ao Centro de Reciclagem, ao Mouvement des Enterprises de France (Medef) e à Divisão de Tecnologia, Indústria e Economia das Nações Unidas. Serão realizadas ainda visitas guiadas às áreas temáticas da feira.

Há cinco anos a Federação das Indústrias do Estado do Rio de Janeiro (FIRJAN) leva empresas à Pollutec. A CNI passou a coordenar a missão empresarial em 2005. De acordo com o gerente de projetos da FIRJAN, Marcus Marinho, a participação do Brasil no evento foi maior em 2006, quando foi comemorado o Ano do Brasil na França. "A FIRJAN continua na organização da missão empresarial, mas a participação do Sistema Indústria tem sido maior. Neste ano, por exemplo, contamos com o apoio de mais oito federações da indústria", afirma.

O diretor da Ambien, empresa que presta serviços de coleta de lixo e na área de construção civil, Cidney Machado, diz que vai à Pollutec desde 1999 e que há grandes possibilidades de negócios, não apenas com empresas de outros países, mas também com brasileiras. "Fechei negócios com muitas empresas do Brasil em conversas informais e em confraternizações", conta. "Também estou recebendo visitas de empresários espanhóis e italianos, com possibilidade de fechamento de joint-ventures com quatro empresas, nas áreas de tratamento de água e controle de frota de coleta de resíduos sólidos."

Machado percebe um aumento do interesse de empresas estrangeiras em negociar com brasileiros com o passar dos anos. "Em 1999, poucas empresas européias queriam negociar com brasileiros. De uns quatro anos para cá, minha agenda tem ficado repleta de reuniões de negócios, inclusive, tenho que cancelar algumas", destaca. "A parceria com a FIRJAN facilitou muito minha participação na Pollutec", elogia o executivo.

O Instituto Euvaldo Lodi (IEL), o Serviço Nacional de Aprendizagem Industrial (SENAI) e o Serviço Social da Indústria (SESI) apóiam a iniciativa. A missão empresarial integra ações da Plataforma Brasil-Europa, cujo objetivo é integrar ações e informações estratégicas do Sistema Indústria para aumentar o potencial de parcerias empresariais e institucionais no exterior.

Mais informações pelo telefone (21) 2563-4455

Fonte: CNI

Segundo Cimatec é inaugurado na Bahia

Foi inaugurada nesta segunda-feira (29/10), em Salvador, a segunda unidade na Bahia do projeto Centro Integrado de Manufatura e Tecnologia (Cimatec 2), do Serviço Nacional de Aprendizagem Industrial (Senai).

O presidente Luiz Inácio Lula da Silva e o ministro da Ciência e Tecnologia, Sergio Rezende, participaram da cerimônia de inauguração do centro, que foi construído com recursos do Ministério da Ciência e Tecnologia, totalizando R$ 16,2 milhões.

O centro atua na formação de recursos humanos qualificados, desde cursos básicos de aprendizagem industrial até mestrado. O Cimatec também está capacitado para prestar serviços técnicos e tecnológicos especializados e promover pesquisa aplicada nas suas diversas áreas de atuação.

A segunda fase do projeto amplia áreas de competências e a capacidade de atendimento à indústria, passando também a atuar nas áreas de microeletrônica e eletrônica embarcada, mecânica de precisão e engenharia automotiva.

Os serviços são agrupados em cinco subconjuntos principais: pesquisa aplicada; assistência técnica e tecnológica; informação tecnológica; formação profissional (longa duração, desde o nível básico até o superior tecnológico e a pós-graduação).

Mais informações: www.cienciaetecnologia.al.gov.br

Fonte: Agência Fapesp