31.7.08

Innovation : Comment créer une Silicon Valley en Europe ?

Pour aider à créer de véritables « clusters » ou pôles d'excellence en Europe capables de rivaliser avec leurs homologues américains, l'Europe se doit de pratiquer une politique ambitieuse et sélective. C'est ce qui ressort d'une lettre ouverte rédigée par un panel d'experts * réunis en juin dernier au sein d'un « Innovation Board » par l'école de commerce Insead en collaboration avec Science Business.

L'idée force de cette lettre ouverte est simple : l'Europe doit cibler son action en matière d'innovation pour être efficace. Au contraire des Etats-Unis, où une seule institution de recherche, l'Université de Californie-San Francisco, a donné naissance à des sociétés cotées en bourse pour une valeur boursière de 90 milliards de dollars, ou de la Chine, qui a concentré des allégements fiscaux sur trois gigantesques plateformes de développement technologique, l'approche de l'Europe est « limitée, timide et diffuse », constatent les auteurs de cette lettre.

"On dénombre quelque 2 000 pôles d'excellence dans l'UE, 70 politiques de clusters nationales différentes et des centaines de programmes régionaux". C'est trop, souligne cette lettre ouverte, qui suggère de concentrer les ressources disponibles (308 milliards d'euros de fonds structurels européens entre 2007 et 2013) en sélectionnant de façon rigoureuse des pôles d'excellence dans les régions et les secteurs les plus prometteurs. Il est proposé de créer des zones d'innovation spéciales en Europe ou SIZE (Special Innovation Zones in Europe) et d'attribuer ce statut à quelques pôles existants sélectionnés sur des critères objectifs (chiffres réels par euro dépensé) plutôt que par « des politiques régionales secrètes ». Dans cette optique, les auteurs de cette lettre souhaitent voir appliquer ces principes dans la déclaration de politique des clusters de l'UE qui doit être prochainement publiée.

* « L'Innovation Board » rassemble : J. Frank Brown, doyen de l'Insead ; Esko Aho, président du Sitra (fonds national finlandais pour l'innovation) ; Jean-Philippe Courtois, président de Microsoft International ; Pat Cox, président du Mouvement européen ; Roch Doliveux, PDG d'UCB ; Denis Payre, PDG de Kiala et cofondateur de Business Objects ; Philippe Pouletty, directeur général de Truffle Capital ; Alfons Sauquet, doyen de l'école de commerce Esade ; et Helmut M. Schühsler, directeur associé de TVM Capital.


source: http://www.lemoci.com


DEPOIS DE PASSAR POR DOIS ESTADOS, CHEGA A SERGIPE, O SEMINÁRIO DE INOVAÇÃO 2008

Depois de passar pelo Espírito Santo e por Minas Gerais, chega a Sergipe o Seminário de Inovação 2008, uma iniciativa do Movimento Brasil Competitivo (MBC) com o apoio de diversas entidades locais que já trabalham  com o tema.  Em Sergipe, o seminário será realizado no dia 15 de agosto, das 7h30 às 12h, no auditório da Federação das Indústrias de Sergipe (FIES).

Sergipe foi um dos escolhidos pelo Movimento Brasil Competitivo para sediar o Seminário por estar fazendo um trabalho muito produtivo em termos de gestão. "Nosso Estado está tendo progressos no sentido de articular, sensibilizar, conscientizar e mobilizar para a importância da inovação como instrumento de crescimento  sustentável e competitividade", diz Marcel Fortes gerente-executivo do MCS

A metodologia empregada nos seminários de inovação trabalha com uma programação

padronizada que prevê uma abertura formal; palestra sobre gestão da inovação

proferida por um representante do MBC; palestra sobre kit metodológico, que mostra

métodos e ferramentas de inovação; além de divulgação dos investimentos dos Ministério da Ciência e Tecnologia com relação ao PAC e ao Pró-Inova e de algumas parcerias  importantes em inovação no Brasil

 "Existe ainda um painel em que são colocados instrumentos de apoio e inovação com agentes  nacionais e locais, para que as pessoas  troquem idéias e percebam onde podem buscar recursos, aproveitar os recursos existentes e desenvolver inovação", explica Fortes.

O Movimento Competitivo Sergipe (MCS) é um dos grandes parceiros para a realização do Seminário de Inovação no Estado por se tratar de um grande aglutinador idéias, procurando integrar aspectos positivos de gestão, qualidade, produtividade, competitividade e inovação. Essa é uma grande oportunidade para trocar idéias de um tema que, se não for colocado na pauta diária do estado, vai acabar  deixando Sergipe para trás", comenta.

Durante o Seminário de Inovação, em Sergipe, haverá o lançamento do Comitê de Inovação que terá a participação da Sedetec, Fapitec,  Sergipetec, Rede de Metrologia, universidades, institutos de pesquisa estaduais, MCS, Acese, Fórum Empresarial, FIES, Federação do Comércio, IEL, FBC e entidades que trabalham com inovação no  Estado.

O evento é aberto a qualquer interessado no tema Inovação, especialmente  empresários, gestores públicos, privados e  do terceiro setor, estudantes, professores e pesquisadores As inscrições, que são gratuitas, podem ser feitas no site do MCS (www.mcs.org.br) ou pelos telefones (79) 3212-3293 / 3254 / 2810.

fonte: http://www.faxaju.com.br/viz_conteudo.asp?codigo=307200810422072065

26.7.08

Vos collaborateurs ont des idées. Mais trop souvent, ils les taisent

RH. Comment favoriser l'innovation et la créativité? Le climat managérial joue un grand rôle.

«Qu'est-ce qui fait qu'un groupe ou un collaborateur se met à sortir des sentiers battus dans sa manière d'aborder les situations professionnelles, qu'il commence à proposer des solutions innovantes ou à tenter des expériences nouvelles? Et quand il le fait, comment l'entreprise le perçoit-elle? Le soutient-elle, le promeut-elle ou au contraire l'ignore-t-elle?» Ces questions ont conduit le cabinet de conseil en management Human Asset, à Genève, à mener deux enquêtes* sur les thèmes de l'innovation et du management.

Innovation, créativité: ces thèmes reviennent sans cesse dans les discours managériaux comme facteur essentiel de succès des entreprises. Mais, au-delà des mots, les collaborateurs ont-ils une marge de manœuvre suffisante pour être réellement créatifs? «De nos deux enquêtes, il ressort que les collaborateurs et les cadres ont des idées, mais que nombre d'entre eux hésitent à les exprimer car le contexte managérial ne le favorise pas», souligne Julien Bonvin, consultant chez Human Asset.

Créativité refrénée

Globalement, les collaborateurs sont une force de proposition: 97% des personnes interrogées ont déjà «proposé un changement, une nouvelle façon de faire ou une idée», qui permette d'améliorer la performance de l'entreprise.

Mais ces initiatives sont-elles bien accueillies? Pas vraiment, à en croire les collaborateurs interrogés, qui expriment d'abord un problème de confiance envers leur employeur: 43% d'entre eux s'attendent à une réaction négative de la hiérarchie lorsqu'une personne propose une idée ou un changement important (elle ne sera ni écoutée ni prise au sérieux, pensent-ils). Cela signifie, selon Human Asset, que ces 43% ne parleront probablement pas s'ils ont une bonne idée susceptible d'améliorer l'efficacité de l'entreprise.

Frein supplémentaire à l'expression des idées: «Il existe des liens significatifs entre l'expérience passée d'une personne (l'accueil positif ou non fait à sa proposition) et sa propension actuelle à proposer de nouveau un changement», montre l'enquête. Autrement dit, une personne qui aura vécu une mauvaise expérience ne prendra pas le risque de se brûler les ailes une seconde fois.

Un autre problème a été soulevé: dans leur poste actuel, près de 60% des personnes interrogées avouent un manque de confiance envers leurs collègues ou leurs chefs. Elles ont tout simplement peur de se faire prendre leurs idées par d'autres et ont le sentiment de «devoir les protéger ou de limiter leurs initiatives». Ainsi, au final, seuls 35% des participants feraient le pas et donneraient leur idée s'ils en avait une aujourd'hui, une proportion qui augmente quand on s'élève dans la hiérarchie.

Les enquêtes ont ensuite mis le doigt sur un autre phénomène: le fossé entre les paroles et les actes. «Nous avons remarqué une divergence entre le discours et sa mise en pratique, poursuit Julien Bonvin. 67% des sondés considèrent que l'innovation fait partie des valeurs véhiculées par leur entreprise. Mais lorsque nous leur demandons comment se traduit cet engagement, 71% des personnes interrogées considèrent qu'il n'existe pas de processus clair permettant de faire émerger ou de favoriser l'innovation. Et 63,5% ajoutent que les collaborateurs faisant preuve de créativité ne sont pas récompensés.»

Injonction paradoxale

Ces résultats n'étonnent guère Lionel Thelen, sociologue et auteur d'un ouvrage sur le «Management humain»**, où il décortique notamment les injonctions paradoxales (comme le «Sois créatif!») et les doubles contraintes managériales. Pour lui, on ne peut tout simplement pas «exiger» d'un collaborateur qu'il soit innovant. «Dans une entreprise où tout est imposé, y compris la nécessité «d'être créatif», il n'y a justement plus de place pour la créativité», écrit-il. Plus loin, il poursuit: «Il faut au contraire lui octoyer des conditions de travail idéales et sécurisantes de manière à ce que - de lui-même - il fasse sien son environnement de travail et qu'il soit tenté de donner le meilleur, tout en laissant s'exprimer sa créativité en vue d'améliorer son environnement ou ce sur quoi il travaille.» Lionel Thelen ajoute: «La créativité dépend du rapport de confiance que la personne établit avec son environnement et les personnes qui l'entourent. Si l'on ne peut pas se fier à la direction ou à ses collègues, si on vit dans l'insécurité, il n'y a pas de raison d'être créatif. Au contraire, la peur et le stress sont des facteurs de résistance au changement.»

Julien Bonvin va dans le même sens: «Certaines pratiques managériales favorisent l'innovation. Le message doit partir d'en haut, la direction doit permettre de sortir du cadre et reconnaître un droit à l'erreur. La communication doit être claire: les collaborateurs doivent savoir ce qu'ils peuvent attendre de leur investissement et à quelle reconnaissance ils auront droit s'ils font preuve de créativité (sous forme de rémunération, de temps libre, d'évolution de carrière, ou de participation à la mise en œuvre de l'idée, etc.).» Ensuite, le collaborateur doit connaître le dispositif mis en place pour appuyer et soutenir la production d'idées. «Mais pour favoriser la créativité, il ne faut pas trop la cadrer, nuance Julien Bonvin. C'est aussi durant son temps libre, lorsque l'on prend du recul, que l'on se remet en question ou lorsque l'on discute avec des gens d'autres horizons que l'on trouve des idées.»

Outils et techniques

«Fondamentalement, un climat doit se développer qui permette aux collaborateurs d'avoir une marge de manœuvre réelle, un sentiment de liberté, une emprise sur les choses», ajoute de son côté Francine Crettaz, formatrice et consultante indépendante. Mais une fois les conditions mises en place, «la créativité s'apprend et s'exerce, ajoute-t-elle. Toutes sortes d'outils et de techniques existent pour développer la créativité et favoriser la recherche d'idées, apprendre à changer sa perception et son regard.»

Une telle politique a un impact important sur les collaborateurs en terme d'engagement et de motivation. Et aussi de plaisir au travail. Car comme le dit Francine Crettaz, «la créativité est stimulante et énergisante! Elle ouvre des perspectives et des horizons, elle est source de richesse et d'épanouissement. Elle mobilise une énergie positive en nous. C'est un vrai moteur.»


source: http://www.letemps.ch/emploi/affichearticle.asp?artid=236238

13.7.08

Le congrès 2008 du "European Business & Innovation Centre Network" (EBN) s'est tenu à Budapest

Le congrès 2008 de l'EBN s'est tenu du 25 au 27 juin à Budapest sur le thème "Aider les nouveaux talents à grandir". Il a commencé le 25 juin par une cérémonie officielle dans le Parlement hongrois. Le congrès et les sessions de travail parallèles se sont répartis sur les deux jours suivants.

Le congrès EBN 2008 a présenté des études de cas, des histoires, des témoignages, des pratiques, des concepts sélectionnés dans la région de son réseau. Il a développé des idées, des nouveaux modèles pour soutenir un développement rapide des sociétés start-up et des PME.

Le 17ème congrès annuel EBN est une vitrine des acteurs talentueux qui souhaitent partager leur vision du futur pour une excellente économie et des schémas de soutien innovation/incubateur. La première journée de travail s'est focalisée sur la découverte des innovateurs et artistes hors d'EBN, sélectionnés dans différents cercles économiques, différentes zones géographiques etc. Les sessions de la deuxième journée ont offert l'opportunité de générer et de disséminer des nouveaux modèles et des progrès passionnants à travers la communauté du réseau. Cela a également été l'occasion de créer des ponts Nord-Sud et Est-Ouest.

source : http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/55344.htm

Création d'Altran Telnet Corporation : Quand deux leaders de l'ingénierie se rencontrent

Lors d'une conférence de presse conjointe organisée, hier 10 juillet 2008 à l'hôtel Abou Nawas Tunis, une nouvelle société a été crée à savoir ; Altran Telnet Corporation (A .T.C) née de la joint–venture entre la société tunisienne Telnet et le groupe français Altran technologies.

M. Yves de Chaisemartin, président du directoire du groupe français Altran Technologies - première société d'ingénierie européenne et M. Mohamed Frikha, Directeur Général de la société tunisienne Telnet - première société d'ingénierie dans les hautes technologies du Maghreb, ont présidé cette première assemblée générale et le premier conseil d'administration de la nouvelle société.

France-Canada : Pour une innovation collaborative

Oséo et son homologue canadien CNRC, ont signé le 2 juillet un accord de coopération visant à favoriser l'émergence de projets innovants collaboratifs entre les deux pays.
A l'occasion de son voyage au Canada, François Fillon a signé le 2 juillet avec son homologue canadien Stephen Harper une déclaration commune incluant un protocole d'accord entre Oséo et Conseil National de Recherches du Canada (CNRC) principal organisme de recherche et de développement du gouvernement de ce pays. Dans ce cadre, François Drouin, Pdg d'Oséo et Pierre Coulombe, Président du programme d'aide à la recherche industrielle du CNRC, ont conclu un partenariat visant à développer des accords de coopération entre entreprises des deux pays.

Un accord en quatre points

L'accord prévoit la mise en place « de financements conjoints » pour le développement collaboratif de projets innovants. Il engage les deux parties signataires à identifier un ou deux pôles de compétitivité en France et leurs pendants au Canada, les grappes technologiques (regroupement d'entreprises innovantes autour d'installations de R&D) afin de « mettre en contact leurs acteurs et promouvoir les partenariats technologiques transnationaux ». Oséo et le CNRC lanceront également des « appels à projets technologiques collaboratifs » liés à des événements à caractère technologique et/ou scientifique, au Canada ou en France, ceci afin « d'inciter les entreprises à présenter leurs technologies ». Enfin, les deux organismes s'informeront mutuellement des évolutions de leurs mandats « dans leur système d'innovation national ».

source : innovation le journal

4.7.08

Création de valeur et innovation

La création de valeur est reliée à l'innovation et à la création d'avantages concurrentiels durables. Ces trois notions sont importantes et devraient faire l'objet des premières interrogations des entrepreneurs.

Mon idée a-t-elle un potentiel de création de valeur ? Pour qui ? Sur quoi est fondée cette valeur ?
L'innovation, d'après le Petit Robert, consiste à introduire quelque chose de nouveau, d'encore inconnu dans une chose établie. L'innovation se distingue de l'invention et s'exprime dans une multiplicité de formes.

La notion de création de valeur est centrale dans notre conception du champ de l'entrepreneuriat. Tous les projets ne contiennent pas le même potentiel de création de valeur et ne présentent pas le même degré de risques. Ces deux dimensions permettent de typer les projets d'entreprendre : Grand Jeu, Impasse, Fort Potentiel, Faible Potentiel. Avoir ce type d'information sur le projet, permet d'adapter au mieux une stratégie.

La création de valeur est présente, plus ou moins, dans une idée entrepreneuriale, mais l'idée initiale est rarement celle qui permet de valoriser au mieux le potentiel de création de valeur. Il est donc essentiel de savoir comment on peut passer d'une idée initiale à une opportunité d'affaires.

source: http://blogs.lentreprise.com/world_entrepreneurship_forum/2008/07/creation-de-valeur-et-innovati-1.html

1.7.08

Marketing : la Méthode ISMA360 du CERAM se déploie à l'international

Née d'une recherche développée par Dominique Vian, Enseignant chercheur au CERAM Business School et validée dans le cadre de deux projets Européen (Projet TEEE-Inn et Achieve), la méthode ISMA 360 (Innovation Systemic Marketing Analysis) a été créée au départ pour le besoin des incubateurs d'entreprises technologiques et innovantes. Elle permet de définir la stratégie marketing d'une innovation en conduisant pas à pas l'entrepreneur vers une représentation très explicite de son marché.

 

Un déploiement par la mise en place d'une certification individuelle

Face aux enjeux et aux difficultés liés à la stratégie marketing de l'innovation et à l'entrepreneuriat, la pertinence de la Méthode ISMA360 a attiré l'attention des acteurs du marché de l'innovation, dès son lancement en juillet 2006. A ce jour, 20 formations à la Méthode ont déjà été menées auprès de 60 professionnels (chargés d'affaires d'incubateurs, de cellules de valorisation et désormais des consultants), représentant plus de 26 structures liées à l'innovation en France, en Suède, en Angleterre, en Italie, au Pays Bas et en Allemagne. La méthode est également enseignée aux étudiants de la Majeure entreprises innovantes du CERAM, preuve que l'on peut être "prophète" en son royaume.

Fort des premiers retours du marché et de l'intérêt suscité auprès des Chargés d'affaires d'incubateurs européens formés, le CERAM, via son centre d'expertise CERAM Expert, a décidé d'assurer la qualité du déploiement et de l'utilisation de la Méthode ISMA360, au niveau international, par la mise en place d'une Certification individuelle. Cette Certification déclinée sous deux formes "Regular" ou "Expert" permettra à tout candidat d'acquérir une compétence solide et immédiatement applicable dans le cadre de l'accompagnement au niveau Marketing Stratégique de projets innovants.

 

Une étape qualifiée d'historique pour la recherche du CERAM

 C'est dans cette perspective que le CERAM a signé un accord de partenariat stratégique avec deux sociétés de conseil : Strategy2Market et ViaNoveo. Leur collaboration prévoit le déploiement de la méthode originale et novatrice sur le marché de l'innovation à l'échelle internationale. Les fondateurs de Strategy2market (Séverine Herlin) et Vianoveo (Jérôme Tesson et Pierre Gohar) qui accompagnent le projet de déploiement de cette méthode depuis son origine et qui ont été formés par l'auteur, ont aujourd'hui choisi de mettre leur expertise et leur professionnalisme au service de la Méthode ISMA 360.
 
 

IBM confirme son engagement dans les nanotechnologies

Le groupe investira 90 millions de dollars dans un nouveau bâtiment de son centre de recherche zurichois.

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Le nouveau bâtiment, dont la construction débutera en mars 2009, sera situé sur le campus du centre de recherche d'IBM à Zurich-Rüschlikon.
DE NOTRE ENVOYÉE SPÉCIALE À ZURICH.

IBM va investir 90 millions de dollars à Zurich dans la construction d'un laboratoire de recherche sur les nanotechnologies, dans le cadre d'un nouveau partenariat avec l'Institut fédéral des technologies de Zurich (ETH, Eidgenössische Technische Hochschule). Un investissement qui illustre bien sa stratégie en matière d'innovation. Il confirme ainsi son intention de faire croître la part de sa R&D réalisée en partenariat, mais aussi sa volonté d'asseoir l'innovation sur la recherche fondamentale. IBM compte, en effet, sur les nanotechnologies pour l'aider à concevoir l'informatique du futur : nouvelles technologies de gravure des puces, résolution des problèmes de stockage et de transfert de données dans le contexte d'une poursuite de la miniaturisation.

IBM et l'ETH ont déjà une longue tradition de collaboration dans différents domaines, mais l'accord qui vient d'être signé dans les nanotechnologies va plus loin. Tout d'abord, il s'agit de la création d'une infrastructure commune, conçue pour répondre aux besoins des chercheurs d'IBM et de l'ETH, qui ont établi ensemble le cahier des charges. Le nouveau bâtiment dont la première pierre devrait être posée en mars 2009, sera situé sur le campus du centre de recherche d'IBM à Zurich-Rüschlikon. Il est totalement financé par le groupe - à hauteur de 90 millions d'euros -, l'ETH s'engageant pour sa part, sur dix ans, à louer des locaux. La surface attribuée aux laboratoires (quelque 900 m2 sur un total de 2.400 m2) est en effet divisée en trois : une zone dédiée à IBM seul, une zone dédiée à l'ETH seul et une zone partagée où seront mis en oeuvre les projets communs.