31.8.10

La paranoïa d'Intel

Peut-on être riche à milliards, engranger des bénéfices historiques,
bénéficier de taux de croissance à deux chiffres et tout de même être
inquiet ? Oui. Chez Intel, où l'on sait que « seuls les paranoïaques
survivent », l'excellence des derniers résultats trimestriels
n'empêche pas ce champion des microprocesseurs de trembler pour son
avenir.
En 1996, Andy Grove, alors PDG de ce géant américain avait fait de la
paranoïa une forme suprême de management. « Le succès porte les germes
de son propre échec », écrivait-il en expliquant que les entreprises
se retrouvent parfois confrontées à des « points d'inflexion ». Ces
moments où une vague de fond bouleverse tout l'équilibre sur lequel
elles ont bâti leur fortune.
Intel est aujourd'hui face à l'un de ces moments où l'histoire risque
de basculer. Porté par l'informatisation de la planète, Intel est avec
Microsoft le grand gagnant de l'ère du PC. Plus de huit ordinateurs
sur dix dans le monde tournent au « Intel inside ». Mais l'avenir
n'appartient plus au micro-ordinateur, qui se cantonnera
progressivement à un, certes, gigantesque, mais néanmoins simple
marché de renouvellement. Dans la « tech », l'innovation est désormais
tirée par les terminaux mobiles et par Internet. L'intelligence
électronique n'est plus sur le bureau. Elle est dans nos poches ou sur
le réseau. Pour Intel, qui contrôlait l'ancien monde du PC,
l'émergence de cet univers parallèle est terriblement menaçant. Car,
sur ce segment, ses parts de marché, sa capacité à imposer ses prix, à
rythmer l'innovation et à garder les concurrents à distance sont
faibles. Ce n'est donc pas un hasard si en moins d'un mois Intel a
dépensé plus de 9 milliards dans des opérations de croissance externe
pour tenter de combler son retard. Reste à voir si l'on peut s'acheter
un avenir quand on a du mal à se l'inventer par ses propres moyens.

Source : DAVID BARROUX -
http://www.lesechos.fr/info/analyses/020752677557-la-paranoia-d-intel.htm

29.8.10

Las ciudades emergentes de Brasil

La política de crecimiento acelerado establecido por Lula Da Silva, el
presidente del gobierno, ha permitido abrir las barreras no
arancelarias y aranceles para que el país sea la puerta de entrada de
las inversiones e comercio de toda América latina. Brasil tiene un
potencial de crecimiento importante con el séptimo mayor mercado de
consumidores del mundo.
El estudio KPMG realizo una investigación sobre las nuevas
destinaciones recomendables para desarrollo su negocio.
BRASSCOM la asociación brasileña de la información tecnológica y la
comunicación empresarial ha destacado que las ciudades de Campinas,
Curitiba, Sao luis, Teresina, Fortaleza, Natal, Canoas, Caxias do sul,
son destinaciones emergentes. Gozan de mano de obra de calidad,
infraestructuras, posibilidades de nearsharing e outsourcing.

Campinas la silicon valley de Brasil:Ubicado en el estada de Sao
Paulo, Campinas tiene un poco mas de 1 millon de hablitantes. Es un
centro urbano y industrial, cuidad de las clases media altas del
Brasil con buena calidad de vida. Se llama tambien la princesa del
oeste.

La ciudad tiene universidades de calidad reconocida, centro de
investigación e industrias de alta tecnologías. La importante joint
venture, ActMinds, agrupa 10 compañías exportando en el mundo.
También, puede encontrar un montón de incubadora de negocios y parque
industrial. Se puede ir a Sao Paulo por autopista y el aeropuerto
Viracopos se encarga de los vuelos de cargo.
Campinas alcanza ser un importante HUB en investigación y desarrollo
con una oferta de incubadora de empresas de tecnologías.
Al nivel de riesgos, hay que saber que conoce una estabilidad política
y un alto nivel de crimen.

Curitiba, capital ecológica de Brasil: Es un polo automovilístico con
astmósfera cosmopolita.
Numérosos son los centros comerciales y fue elegida mejor ciudad
educativa de Brasil. Es una ciudad inovadora con importante nivel de
negocios y destacada por los inversionistas extranjeros. Una de la
fortaleza de la mano de obra es su capacidad de hablar ingles. Tambien
se considera como una ciudad modelo en el sentido que ofrece bienes
públicos de calidad como el transporte urbano que permite mejora la
calidad de vida de los ciudadanos.
Los servicios ofrecidos desde Curitiba son el outsourcing, la
consultoría de implantación, la investigation y desarrollo, los
servicios de asesoría en finanza y recursos humanos.
Hay que saber que la rivera Paraná es la planta de energía
hidroeléctrica más grande de América latina.
También el gobierno promueve programas de creación de empresa y
comercio exterior por medio de bajos impuestos para las pymes.
Le llama la atención que la ciudad goza de un bajo nivel de polución
duda a las acciones innovadoras creadas.

Source: http://mocieuropalatina.wordpress.com/2010/07/10/las-ciudades-emergentes-de-brasil/

27.8.10

NOKIA ET INTEL : UN LABO COMMUN POUR LA 3D SUR MOBILES

Pour développer la 3D sur mobiles, Nokia et Intel, en collaboration
avec l'Université de Oulu, ont ouvert un laboratoire commun en
Finlande.
Nokia et Intel inauguraient, le 24 août, « Joint Innovation Center »,
un laboratoire commun rattaché à l'Université de Oulu en Finlande.
L'équipe d'une vingtaine d'ingénieurs qui le compose travaillera au
développement de la 3D sur mobiles et smartphones. L'ambition est de
développer des applications de réalité augmentée et de cartographie,
en s'appuyant sur la base de l'OS Open Source Meego, fusion des
systèmes d'exploitation Maemo de Nokia et Moblin d'Intel, lancé en
février par les deux entreprises.

Source: http://www.innovationlejournal.com/spip.php?article5956

19.8.10

Lula cobra adesão de empresários à inovação

Após assinar medida provisória que prevê a redução de impostos para empresas que investirem em inovação tecnológica, o presidente Luiz Inácio Lula da Silva cobrou hoje (2) de empresários brasileiros maior adesão ao estímulo dado pelo governo.

"Nós precisamos ficar mais competitivos, melhorar a qualidade dos nossos produtos, baratear a qualidade dos nossos produtos e isso, obviamente, está ligado à inovação", disse. Os incentivos incluem, por exemplo, a isenção de Imposto de Renda da Pessoa Jurídica (IRPJ) e da Contribuição Social sobre o Lucro Líquido (CSLL).

Em seu programa semanal Café com o Presidente, Lula lembrou que, com a medida, o Brasil passa a ser o segundo país que mais promove incentivos fiscais no setor, perdendo apenas para os Estados Unidos.

"Do ponto de vista do dinheiro colocado pelo Estado brasileiro, nós estamos mais ou menos equiparados a todos os países do mundo. A diferença é que, em alguns países, as empresas privadas fazem muito investimento em ciência e tecnologia. E, no Brasil, nós fazemos muito pouco ainda", disse.

Durante o programa, o ministro da Ciência e Teconologia, Sergio Rezende, lembrou que, a partir de agora, as empresas brasileiras contam com incentivo ainda maior para investir em inovação tecnológica.

"Temos hoje, no Brasil, um leque de apoio do governo para que as empresas sejam estimuladas. Agora, é muito importante que os empresários se arrisquem mais. O Brasil tem hoje muitos pesquisadores com capacidade de ajudá-los, para que elas [as empresas] realmente passem a fazer da inovação parte do seu processo produtivo", afirmou.

Fonte : http://info.abril.com.br/noticias/ti/lula-cobra-adesao-de-empresarios-a-inovacao-02082010-5.shl

11.8.10

Infrastructures et Education : les deux grands défis du Brésil

Pour l'Economist Intelligence Unit qui vient de publier un rapport, le pays a besoin d'investir dans deux domaines : les infrastructures et l'éducation, ainsi que dans l'innovation et la reconnaissance internationale de ses marques, afin de maintenir une croissance durable.

L'étude, commandée par la banque HSBC, s'appuie sur des entrevues réalisées avec des analystes, des spécialistes et des managers de 536 entreprises de 18 pays, afin de mieux comprendre comment le Brésil est perçu dans le monde.

Si ces défis sont relevés durant la prochaine décennie, l'économie pourrait alors soutenir un rythme de croissance au-dessus des 5% par an, affirme Justine Thody, spécialiste de EIU pour les Amériques.

Ajouté à une population de presque 200 millions d'habitants, cela en ferait un des marchés les plus attrayants du monde. Pour 2010, la croissance annoncée est de 7,8% avant de tomber à 4,5% pour l'an prochain.

Même si la grande majorité des investisseurs perçoivent le Brésil comme un pays émergent, au potentiel similaire à celui de la Chine ou de l'Inde, 31% soulignent la pauvreté du monde des affaires, et 34% se montrent préoccupés par la corruption et la fragilité de la gouvernance corporative.

Le premier grand défi du Brésil, aux yeux des investisseurs, concerne l'infrastructure. Le transport routier reste incontournable et coûteux, le réseau ferré est minuscule, les ports et aéroports sont congestionnés et le potentiel du transport fluvial encore inexploité.

Le manque de main d'œuvre qualifiée pour occuper les postes stratégiques en entreprise met en relief le second défi à relever : celui de l'éducation.

Selon l'étude, c'est au niveau de l'enseignement secondaire que le bât blesse. La faiblesse des ressources allouées associée à d'autres facteurs, comme la formation des professeurs, font que les lycéens terminent leur cursus avec un niveau parmi les plus faibles au monde.

Le Brésil souffre également d'un manque d'innovation. 57% des cadres interrogés au Brésil disent que leur entreprise ne possède pas de structure de Recherche & Développement.

Les passerelles entre Entreprises et Universités sont peu développées, à part dans les domaines de l'environnement et de l'agriculture où le Brésil réussit à exporter sa technologie.

Enfin, la perception du « Made in Brasil » à l'étranger n'est pas satisfaisante. 84% des personnes interrogées affirment que les marques brésiliennes ne sont pas reconnues ou appréciées à l'étranger.